Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

gpa

  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Les humanistes préfèreront toujours les droits de l’enfant au droit à l’enfant

    Il n’existe pas (encore) de permis pour devenir parent.

    La plupart s’en réjouira, certains estimeront néanmoins qu’un tel examen pourrait éliminer les bourreaux d’enfants et les irresponsables.

    Mais depuis que les humains sont les humains, la rencontre d’un spermatozoïde mâle et d’un ovule femelle suffit à créer un nouvel être.

    Et les couples hétérosexuels n’ont donc pas besoin de se voir délivrer un «droit à l’enfant» en règle général.

    En revanche, tous ceux qui ne peuvent procréer de cette manière (couples stériles, homosexuels, personnes seules) ont besoin de voir reconnu ce droit à l’enfant afin de mettre au monde un être grâce à l’intervention de la science médicale ou d’en adopter un.

    Un droit qui peut se discuter en regard de ce qui ne se discute pas: les droits de l’enfant.

    Lire la suite

  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Adoption, PMA, GPA: l’enfant n’est ni un objet, ni une marchandise, ni un esclave

    Question: dans quel type de société un être humain est une marchandise que l’on peut acquérir et échanger, vendre et acheter, lui déniant la qualité de sujet pour en faire un simple objet?

    Il n’y en a qu’une: la société esclavagiste.

    Question: dans quel type de société les droits à posséder un être humain sont mis sur le même plan que les droits de l’être humain?

    Il n’y en a qu’une: la société esclavagiste.

    Dans le monde, la traite ou «trafic» d’être humains, une pratique encore largement pratiquée, en particulier d’enfants, est interdite et tombe sous le coup de la loi.

    Dans une démocratie républicaine, l’individu paré de son statut de personne, ne peut être l’objet de droits appartenant à quelqu’un d’autre mais uniquement être un sujet ayant des droits, les siens.

     

    Lire la suite