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  • Halte à la haine!

    Le Centrisme, par son attachement aux valeurs humanistes et au principe de juste équilibre, est une pensée de la réconciliation, du consensus et de la paix civile.

    Le Centrisme est donc contre toute violence, toute haine qui divisent, qui détruisent, qui insultent, qui tuent.

    C’est la raison pour laquelle il se bat avec toute son énergie et sans aucune concession possible contre toutes les idéologies extrémistes, contre tous les mouvements populistes, contre tous les partis clientélistes.

    C’est la raison pour laquelle il ne peut cautionner en aucune façon les mouvements de foule du style des gilets jaunes où la hargne, le fanatisme, le racisme, l’antisémitisme, l’insulte, l’appel au meurtre sont monnaie courante er doivent répugner tous ceux qui défendent la démocratie et la république.

     

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Plus inquiétant que les dirigeants populistes: leurs électeurs!

    Voici un théorème d’une clarté aussi évidente que sa simplicité, presque un truisme tautologique: s’il n’y avait pas des gens pour voter en leur faveur (et/ou les soutenir, et/ou les suivre dans leur aventurisme), les populistes ne seraient qu’un épiphénomène dans les démocraties républicaines et le populisme serait concentré dans les bas-fonds des comportements humains les plus détestables, sans aucune chance de prendre le pouvoir.

    C’est souvent vrai également des totalitarismes qui parviennent au pouvoir par les urnes ou par un soutien manifeste d’une grande partie de la population.

    Rappelons maintenant cette autre évidence: dans une démocratie, vous n’êtes élu que si l’on vote pour vous.

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  • L’Histoire, un outil pour bâtir le progrès humain

    Dans ses, Leçons sur la philosophie de l’Histoire, Hegel affirmait avec regret que «L'expérience et l'Histoire nous enseignent que peuples et gouvernements n'ont jamais rien appris de l'Histoire, qu'ils n'ont jamais agi suivant les maximes qu'on aurait pu en tirer».

    Afin d’éviter que la sentence du premier historien, Thucydide, «L'Histoire est un perpétuel recommencement» (Paul Morand, disait: «L’Histoire, comme une idiote, mécaniquement se répète»), il faut «savoir» car comme le dit Marx «Celui qui ne connaît pas l'Histoire est condamné à la revivre», avertissement paraphrasé par Churchill, «Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre».

    Pire, nous dit George Santayana, «Ceux qui ne peuvent se rappeler le passé sont condamnés à le répéter», c'est-à-dire à être des acteurs actifs de ce recommencement qui a conduit à maints désastres.

    Pour cela, Thucydide nous encourage à «Voir clair dans les événements passés et dans ceux qui, à l'avenir, du fait qu'ils mettront en jeu eux aussi des hommes, présenteront des similitudes ou des analogies».

    En effet, comme Tocqueville le notait, «L'Histoire est une galerie de tableaux où il y a peu d'originaux et beaucoup de copies».

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Le Centrisme et le populisme, l’impossible convergence

    Le Centrisme est un humanisme du juste équilibre.

    Le populisme est un radicalisme de l’excès.

    Ces deux définitions lapidaires montrent leur impossible convergence, hier, aujourd’hui et demain.

    Et ceux des centristes qui prennent des accents populistes pour surfer sur la vague actuelle des revendications irresponsables et démagogiques de mouvements foule qui essaiment à travers la planète jouent un jeu dangereux, pas pour eux-mêmes, mais pour l’avenir de la démocratie républicaine libérale dont ils se doivent, au regard des valeurs qu’ils devraient défendre sans dévier, être les garants.

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