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droite

  • De la nécessité (ou non) d’un grand parti libéral et de centre-droit

    Alors que la question semblait un peu marginale, voire une solution d’arrimage pour quelques personnalités politiques en déshérence à droite et au centre-droit depuis la victoire d’Emmanuel Macron, l’élection à la présidence de LR de Laurent Wauquiez et, surtout, ses «dérapages» plus que contrôlés, populistes et radicaux, l’ont remise au cœur de l’actualité politique: faut-il un grand parti de droite libérale et de centre-droit?

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  • Pourquoi les centristes ne doivent pas voter Sarkozy

    Or donc Nicolas Sarkozy vient d’annoncer sa candidature via… la quatrième de couverture de son nouveau livre, «Tout pour la France»!

    Au-delà de cette «nouveauté» ou plutôt cette bizarrerie pour se déclarer candidat, le reste est bien traditionnel et peu engageant.

    Ainsi, il déclare: «J'ai décidé d'être candidat à l'élection présidentielle de 2017. La France exige qu'on lui donne tout. J'ai senti que j'avais la force pour mener ce combat à un moment si tourmenté de notre histoire».

    Dont acte.

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  • Présidentielle USA 2016. La coalition Clinton veut réunir Centre et Gauche

    Dans son discours d’acceptation de sa désignation comme candidate du Parti démocrate à la présidentielle du 8 novembre, Hillary Clinton a voulu sceller une coalition entre le Centre et la Gauche.

    La centriste a d’abord abordé ses thèmes traditionnels

    Elle a martelé à plusieurs reprises son slogan «We’re stronger together» (nous sommes plus forts ensemble).

    De même elle a indiqué qu’elle serait «la présidente des démocrates, des républicains et des ‘independents’».

     

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  • Présidentielle 2017. Juppé se démarque sèchement de Bayrou

    S’afficher avec le président du Mouvement démocrate ou parler de lui avec sympathie et affabilité quand on fait campagne pour la primaire de LR, voilà qui n’est pas dans les plans d’Alain Juppé.

    Ainsi, si l’on en croit Le Figaro, en réponse à l’interrogation d’un militant LR lors d’un meeting à La Roche-sur-Yon en Vendée, le maire de Bordeaux a affirmé sèchement, «Je n’ai pas d’accord avec François Bayrou».

    Il a même ajouté, cassant, «Il me soutient? Je ne vais pas l’envoyer sur les roses».

    On connait des remerciements plus chaleureux pour un soutien sans condition!

     

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  • Axe central: Macron, l’homme qui énerve les gardiens des temples

    Tant à droite qu’à gauche et au centre, Emmanuel Macron a d’abord été accueilli avec bienveillance.

    Puis il a été considéré avec un petit sourire moqueur aux lèvres avant de commencer à agacer.

    Aujourd’hui, le sentiment qui domine l’entière classe politique est plutôt l’inquiétude d’où une montée de l’agressivité qui va souvent de pair à son encontre.

    Car si certains prédisent un flop de son initiative En-marche – c’est-à-dire qu’il le souhaite ardemment! – c’est plutôt à un barrage anti-Macron que l’on assiste ces dernières semaines afin de contrer son ascension dans les sondages et la réalité même de l’espace politique qu’il veut incarner.

    C’est le cas, d’abord, chez les gardiens des temples que sont les partis politiques où le «Macron bashing» est désormais la règle.

     

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  • Présidentielle 2017. Les Français préfèrent un président du Centre à un de gauche ou de droite

    Selon un sondage Elabe pour Europe 1, les Français préfèreraient un président positionné au centre (16%) plutôt qu’à gauche (14%) ou à droite (13%) et surtout que très à droite (8%) ou très à gauche (3%).

    Mais c’est la proposition «ni à gauche, ni au centre, ni à droite» qui vient très largement en tête avec 45% des réponses.

    Une formulation particulièrement ambigüe puisque cette définition reprend négativement l’entier spectre du positionnement politique et que, nécessairement, tout individu, même s’il prétend le contraire, s’y trouve puisqu’il s’agit uniquement d’un moyen de caractériser les opinions politiques de chacun.

     

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  • Présidentielle 2017. Sondages: Bayrou largement battu par Macron, l’axe central en force

    Selon un sondage Elabe pour Les Echos et Radio classique, s’il devait y avoir une candidature d’Emmanuel Macron à la présidentielle de 2017, celui-ci se qualifierait pour le second tour s’il était opposé à Nicolas Sarkozy (25% contre 18%) ou Bruno Le Maire (25,5% contre 18%) comme candidats LR et à François Bayrou (11% dans le premier cas, 11,5% dans le deuxième).

    Le ministre de l’Economie arriverait même en tête des intentions de vote au premier tour, devant Marine Le Pen (25,5% contre 25% avec Le Maire et 25% contre 24% avec Sarkozy).

    En revanche, il serait largement battu par Alain Juppé (21% contre 36%).

    Ce dernier, comme à son habitude, serait en tête dans tous les cas de figure au premier tour (candidat socialiste Hollande, 39% contre 15%, ou Valls, 38% contre 15,5%, ou Macron, 36% contre 21%), largement devant Marine Le Pen (qui obtiendrait entre 23% et 26%).

     

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  • Le «ni-droite-ni-gauche» Macron inquiète le «central» Juppé

    La réaction agressive d’Alain Juppé à la création du mouvement En-marche d’Emmanuel Macron montre que les deux hommes labourent le même terrain politique, ce fameux axe central allant des gaullo-réformistes de droite aux sociaux-libéraux de gauche en passant par les libéraux-sociaux du Centre.

    Ainsi, l’ancien premier ministre de Jacques Chirac et favori des sondages pour succéder à François Hollande à l’Elysée en 2017 a déclaré:

    «Un de nos principaux ministres, celui qui est chargé de l'Economie, qui a un très bon bilan à son actif depuis qu'il est ministre (...), eh bien ce ministre, au lieu de s'intéresser à son métier de ministre (...), il vient de créer un nouveau parti, pour préparer sa future trajectoire politique. (…) Vous pensez que c'est à ça qu'un ministre doit consacrer son temps aujourd'hui? Créer un nouveau parti plutôt que de faire son boulot de ministre?».

    Pourquoi de tels propos?

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  • Macron nous refait le coup de l’«ailleurs»!

    Lors du lancement officiel de son mouvement «En marche» le 6 avril à Amiens, Emmanuel Macron a affirmé qu’il n’était pas de droite, ni de gauche.

    Sans rire, il a déclaré, «J'ai pris du temps, j'ai réfléchi, j'ai consulté, j'ai associé et j'ai décidé qu'on allait créer un mouvement politique nouveau, c'est-à-dire qui ne sera pas à droite, pas à gauche».

    Comme il n’a pas parlé du Centre, on peut supposer qu’il ne s’en réclame pas et qu’il ne se définit pas non plus comme «central» (sic) à l’instar d’Alain Juppé qui tente comme Macron de brouiller les cartes sur son réel positionnement politique.

    Le voilà donc qui nous refait le fameux coup de l’«ailleurs» que tant de politiques nous ont fait par le passé, comme feu Michel Jobert et François Bayrou, le plus récemment.

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  • Le courage politique, les centristes et la présidentielle

    Le courage n’est pas toujours de partir la fleur au fusil pour se faire massacrer en rase campagne, ni de prendre des risques inconsidérés qui aboutiront à l’inévitable, une défaite cuisante pour la cause que l’on défend.

    Mais cela peut être, également, la décision de mettre sa cause au service d’une cause supérieure lorsque cela s’avère indispensable.

    En politique, le courage est une des vertus principales avec l’honnêteté et la responsabilité.

    Montrer du courage pour un homme ou une femme politique, c’est évidemment défendre ses choix, ses valeurs et ses principes contre vents et marées, ceux qu’on estime bons, non pour soi, son ambition et/ou uniquement les intérêts de la clientèle électorale que l’on défend, mais pour son pays, voire pour l’humanité.

    C’est sans doute pourquoi le courage est souvent si peu présent, tout comme l’est l’honnêteté (dans les propos tenus voire dans les actes) et la responsabilité.

     

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