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juste équilibre

  • Halte à la haine!

    Le Centrisme, par son attachement aux valeurs humanistes et au principe de juste équilibre, est une pensée de la réconciliation, du consensus et de la paix civile.

    Le Centrisme est donc contre toute violence, toute haine qui divisent, qui détruisent, qui insultent, qui tuent.

    C’est la raison pour laquelle il se bat avec toute son énergie et sans aucune concession possible contre toutes les idéologies extrémistes, contre tous les mouvements populistes, contre tous les partis clientélistes.

    C’est la raison pour laquelle il ne peut cautionner en aucune façon les mouvements de foule du style des gilets jaunes où la hargne, le fanatisme, le racisme, l’antisémitisme, l’insulte, l’appel au meurtre sont monnaie courante er doivent répugner tous ceux qui défendent la démocratie et la république.

     

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Le Centrisme et le populisme, l’impossible convergence

    Le Centrisme est un humanisme du juste équilibre.

    Le populisme est un radicalisme de l’excès.

    Ces deux définitions lapidaires montrent leur impossible convergence, hier, aujourd’hui et demain.

    Et ceux des centristes qui prennent des accents populistes pour surfer sur la vague actuelle des revendications irresponsables et démagogiques de mouvements foule qui essaiment à travers la planète jouent un jeu dangereux, pas pour eux-mêmes, mais pour l’avenir de la démocratie républicaine libérale dont ils se doivent, au regard des valeurs qu’ils devraient défendre sans dévier, être les garants.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Etre et demeurer centriste en pensant le monde d’aujourd’hui

    Avant de rentrer dans le vif du sujet, il convient de préciser ce que c’est que d’être centriste en ce début de XXI° siècle où le mot est utilisé à toutes les sauces et galvaudé plus que de mesure mais aussi de dresser un rapide tableau synthétique de la situation mondiale.
    Etre centriste c’est adhérer d’abord à des valeurs humanistes (liberté, solidarité, tolérance) et à une règle démocratique (égalité).
    Mais c’est également souscrire au principe de juste équilibre (une bonne et pertinente répartition harmonieuse qui vise à donner le plus de satisfaction possible à tous les citoyens tout en sachant que personne ne peut être contenté complètement).
    Et c’est mettre le respect au rang de vertu cardinale et la dignité à celui d’état prépondérant de l’être humain.
    Ensuite c’est être un partisan de la démocratie républicaine et d’une méritocratie où chacun doit avoir les mêmes opportunités de réussir sa vie.
    D’où il résulte qu’il est un libéralisme social.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Comprendre le «en même temps» macronien et le «juste équilibre» centriste

    Le «en même temps» macronien est un cousin germain du «juste équilibre» centriste.

    Mais, comme pour le juste équilibre, le «en même temps» est souvent mal compris dans son mécanisme.

    Rappelons d’abord, succinctement, la signification politique de ces deux de termes.

    Le juste équilibre est le principe d’action politique du Centrisme du XXI° siècle.

    Il se définit comme une bonne et pertinente répartition harmonieuse, ne s’intéressant pas à un hypothétique lieu géométrique axial, mais vise à équilibrer la société afin d’y établir un consensus maximal au profit de tous les membres de la communauté.

    Il vise à donner le plus de satisfaction possible à tous les citoyens tout en sachant que personne ne peut être contenté complètement.

    Le «en même temps» est le principe d’action politique du macronisme.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Unir et réunir dans un monde tourmenté, le défi prométhéen du Centrisme

    Unir (dans son pays), réunir (au niveau international) a toujours été une préoccupation des centristes, un objectif du Centrisme et un challenge pour le Centre face à une société depuis toujours en conflit avec elle-même et un monde où la loi du plus fort fait le plus souvent office de droit international.

    C’est encore plus vrai dans ce début de XXI° siècle troublé où, après avoir enfin puis vainement espéré que les valeurs humanistes imprègnent l’Humanité toute entière, c’est le retour à l’égoïsme et l’irresponsabilité chez les individus ainsi qu’à la force des muscles et la pensée primaire unique chez les nations, le tout dans un populisme dévastateur qui menace de tout emporter comme aux plus sombres heures de l’Histoire humaine, en particulier ce XX° siècle où la violence et la mort ont rôdé constamment et que nous croyions avoir quitté à jamais pour ce qui est de sa propension à détruire et à s’autodétruire.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. L’évidente impopularité de la réforme macronienne

    Les sondages valent ce qu’ils valent et certains sont si mal réalisés qu’ils ne valent pas grand-chose.

    Ayant dit cela, il semble que, globalement, au bout d’un an de pouvoir, Emmanuel Macron possède cote de popularité tout à fait acceptable mais que son action et que nombre de ses réformes, en particulier en matière économique et sociale, soient majoritairement critiquées.

    Voilà qui est plus que normal!

    D’abord, parce que tout action réformatrice est toujours mal vue et décriée par les citoyens et ce,  même s’ils ont voté pour qu’elle soit mise en place.

    Car elle bouleverse souvent réellement ou fantasmagoriquement le quotidien et les habitudes de tout un chacun, cette perturbation, quelle que soit les résultats concrets de la réforme, étant toujours vue négativement.

    Ensuite, parce qu’une action réformatrice prend du temps et que celle entreprise par Emmanuel Macron est de longue haleine.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Réforme progressiste versus archaïsme clientèliste

    Les centristes sont des réformistes progressistes, c’est ce qui les distingue souvent de la Droite et de la Gauche dont le clientélisme conservateur et même parfois réactionnaire et rétrograde les condamne souvent à l’inaction, voire à laisser pourrir les situations comme on peut s’en rendre compte sur nombre de questions qui, à force, de ne pas être traitées, sont devenus des problèmes quasi-insolubles et ont été une des raisons de l’élection d’Emmanuel Macron.

    Mais attention, être réformiste ne veut pas dire tout réformer et n’importe comment.

     

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Le «en même temps» macroniste à l’épreuve des choix et de la réalité

    Le «en même temps» macroniste est au cœur de la philosophie politique du nouveau président de la république mais également dans celui de son agir.

    Beaucoup ont critiqué cette locution adverbiale comme ne voulant rien dire ou étant fade, une sorte de «néanmoins», de «cependant» ou de «mais» d’indétermination ou d’irrésolution parce qu’elle ne voudrait pas trancher.

    Or, c’est bien la décision franche, qui a un sens et indique une direction que l’on espère des politiques.

    Pour autant, le «en même temps» peut être interprété de trois manières.

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  • Présidentielle USA 2016. La coalition Clinton veut réunir Centre et Gauche

    Dans son discours d’acceptation de sa désignation comme candidate du Parti démocrate à la présidentielle du 8 novembre, Hillary Clinton a voulu sceller une coalition entre le Centre et la Gauche.

    La centriste a d’abord abordé ses thèmes traditionnels

    Elle a martelé à plusieurs reprises son slogan «We’re stronger together» (nous sommes plus forts ensemble).

    De même elle a indiqué qu’elle serait «la présidente des démocrates, des républicains et des ‘independents’».

     

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  • De l’intellectuel centriste

    Néo-gauchistes bien-pensants contre néo-réactionnaires identitaires, il parait que c’est le nouvel affrontement de la scène intellectuelle française actuelle (*).

    Avec, à la marge, tous les catastrophistes qui viennent annoncer la fin du monde toute proche et qui se recrutent tant à droite, chez les néo-réactionnaires qu’à gauche, chez les néo-gauchistes.

    Scène est le terme qui convient le mieux tant tous ces «engagés» squattent les médias, leur milieu naturel d’existence et de reproduction, notamment les audiovisuels (même ceux qui disent le contraire uniquement parce qu’ils sont moins invités que les autres…).

     

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