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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Quand le mot «responsabilité» signifie quelque chose pour les centristes

    Tout comme Barack Obama ne s’est jamais caché derrière quelqu’un ou quelque chose lorsqu’il était critiqué et/ou mis en cause, Emmanuel Macron a martelé hier que si l’on cherchait un responsable dans l’«affaire Benalla», c’était à lui qu’il fallait s’adresser.

    Je n’irai pas plus loin dans ce cas présent et l’on verra, au cours des diverses enquêtes diligentées, s’il s’agit vraiment d’une «affaire» ou d’un simple fait divers très regrettable ainsi qu’où se trouvent les fautes et les manquements et de quels ordres ils ont été.

    Mon propos, ici, est de parler de cette fameuse responsabilité dont tous les hommes et toutes les femmes politiques l’ont continuellement à la bouche et qu’ils balancent aussi sec à la poubelle à chaque fois que la leur est mise en cause.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Trump-Poutine, la rencontre des deux ennemis de l’Europe

    Il fut un temps où les Etats-Unis furent, non seulement, un allié sans réserve de l’Union européenne mais, surtout, un de leur plus fort soutiens et, encore plus, le pays qui milita le plus pour sa création, certains de ses adversaires affirmant même que l’union est une créature des Américains.

    Si l’on ne peut préjuger de la politique future étasunienne et du réel sentiment du peuple américain, force est de constater qu’à la tête de la première puissance du monde et du premier allié – jusqu’à présent – de l’Union européenne, se trouve un personnage qui hait celle-ci mais aussi les Européens avec constance et application.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Le combat pour une information «vraie»

    Les députés ont donc voté les dispositions (dans deux lois séparées) contre les «fausses informations» («fake news» en anglais d’où le terme français est issu) et la «manipulation de l’information» en période électorale, c’est-à-dire trois mois avant un scrutin national (municipales, législatives, présidentielles, etc.).

    Une «fausse information» étant définie dans ces lois comme «toute allégation ou imputation d’un fait, inexacte ou trompeuse».

    Rappelons par ailleurs que ce n’est pas celui qui invente cette fausse information qui sera sanctionné mais celui qui la diffuse de «manière délibérée» et de «mauvaise foi».

    C’est, à la fois une législation de bon aloi et de circonstance.

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