Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

obama

  • Obama contre Trump, le vrai combat politique américain

    Il y a une dimension que les commentateurs de tous bords et de toutes catégories oublient facilement: Trump n’est pas majoritaire et ne l’a jamais été.

    Certes, il peut se targuer de la légitimité du système électoral américain (qui n’est pas remis en question pas la majorité des citoyens eux-mêmes) mais cela n’empêche qu’il a été le président le plus mal élu avec trois millions de voix de moins que la perdante, Hillary Clinton…

    De même, pour ce que cela vaut, il n’a jamais été majoritaire dans les sondages, sa cote de popularité demeurant anormalement basse depuis son élection en novembre 2016.

    Peut-être que grâce aux élections de mi-mandat du 8 novembre prochain, il le sera pour la première fois, par Parti républicain interposé, mais cela n’en prend pas le chemin.

    Lire la suite

  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Sans vraie concurrence par de vraie économie libérale

    Les guerres commerciales qui se profilent à l’horizon et initiées par Donald Trump, nous rappellent que, nulle part, n’existe réellement une économie libérale (sauf dans la tête des ennemis du libéralisme qui s’évertuent à répandre leurs mensonges à ce propos).

    Car une économie libérale, soutenue et promue par les centristes, suppose une réelle concurrence entre les acteurs économiques et l’interdiction pour l’un d’entre eux, dans quelque secteur que ce soit, d’avoir un monopole ou d’être dominant (quasi-monopole) ce qui lui permet de contrôler un marché et de dicter ses conditions et, in fine, au détriment du consommateur.

    Aucun pays au monde n’a jamais été dans une économie libérale car, depuis toujours, les règles du marché juste et équitable ne sont appliquées ni aux Etats-Unis, ni en France, ni en Chine, ni ailleurs.

    Lire la suite

  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Quand le mot «responsabilité» signifie quelque chose pour les centristes

    Tout comme Barack Obama ne s’est jamais caché derrière quelqu’un ou quelque chose lorsqu’il était critiqué et/ou mis en cause, Emmanuel Macron a martelé hier que si l’on cherchait un responsable dans l’«affaire Benalla», c’était à lui qu’il fallait s’adresser.

    Je n’irai pas plus loin dans ce cas présent et l’on verra, au cours des diverses enquêtes diligentées, s’il s’agit vraiment d’une «affaire» ou d’un simple fait divers très regrettable ainsi qu’où se trouvent les fautes et les manquements et de quels ordres ils ont été.

    Mon propos, ici, est de parler de cette fameuse responsabilité dont tous les hommes et toutes les femmes politiques l’ont continuellement à la bouche et qu’ils balancent aussi sec à la poubelle à chaque fois que la leur est mise en cause.

    Lire la suite

  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Eloge des majorités d’idées

    Nous avons assez critiqué ici l’opportunisme dont beaucoup de personnalités politiques au centre ont en fait leur seule ligne directrice au cours de l’histoire politique.

    De même, nous avons souvent éreinté le comportement de l’UDI et de son président Jean-Christophe Lagarde qui veulent nous faire croire que l’on peut être à la fois dedans et dehors de la majorité présidentielle.

    Alors, ici, je veux positiver ce que l’on appelle des «majorités d’idées» et que le centriste Barack Obama a appelé de ses vœux au début de son premier mandat et a appelé l’«ère post-partisane» pour laquelle j’ai émis nombre de doutes à l’instar de politistes américains sur son émergence dans un espace politique aussi polarisé que celui des Etats-Unis d‘alors.

    Lire la suite