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  • Présidentielle USA 2016. Le centriste Bloomberg ne se présentera pas pour ne pas risquer l’élection de Trump ou Cruz

    Michael Bloomberg, centriste et ancien maire de New York, a officiellement renoncé à se présenter à la présidence des Etats-Unis le 8 novembre prochain en tant qu’indépendant.

    Le milliardaire qui a fait fortune en créant lui-même son empire de médias financiers, souhaitait depuis de nombreuses années concourir à la présidentielle.

    Déjà, en 2007, il avait mené des tests pour savoir s’il avait une chance de l’emporter.

    Même si cette année, à 74 ans, il avait moins d’appétence pour une campagne électorale, lui qui avait repris directement la direction de son entreprise l’année dernière, la volonté de barrer la route à la Maison blanche aux populistes Donald Trump et Bernie Sanders ou à l’extrémiste Ted Cruz lui avait fait envisager très sérieusement de se présenter.

    Il avait commencé à élaborer son plan de bataille, fait réaliser des études et des tests notamment au Texas et en Floride, choisi son équipe de campagne, trouver ses slogans et logos et même trouver son éventuel vice-président.

     

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  • Présidentielle USA 2016. Bloomberg confirme son intérêt pour une candidature

    Alors que et parce que Donald Trump et Ted Cruz, du côté républicain, et Bernie Sanders, du côté démocrate, continuent à faire le buzz dans les primaires américaines, l’ancien maire de New York et centriste, Michael Bloomberg a confirmé pour la première fois à la presse son intérêt pour se lancer dans la course à la présidentielle en tant que candidat «independent» (affilié à aucun parti).

    Dans une interview au Financial Times, il a affirmé qu’il étudiait toutes les options en vue d’une éventuelle candidature.

    En outre, il s’est dit choqué par l’inanité des débats politiques à l’occasion des primaires des deux grands partis (républicain et démocrate) en estimant que le peuple américain méritait beaucoup mieux.

     

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  • Présidentielle USA 2016. Devant la montée de Trump et Sanders, Bloomberg prêt à y aller

    Selon le New York Times, Michael Bloomberg, l’ancien maire de New York et propriétaire de l’empire des médias financiers qui porte son nom, aurait demandé à ses collaborateurs et à ses soutiens de se tenir prêt en vue d’une éventuelle candidature à la Maison blanche.

    Le milliardaire âgé de 73 ans a toujours caressé l’idée de se présenter à la présidentielle.

    Catalogué comme un «independent» centriste, il a été tour à tour membre du Parti démocrate et du Parti républicain, toujours membre de l’aile centriste des deux grands partis.

    Après trois mandats à la tête de la mairie de New York, il avait décidé de reprendre les rênes de son entreprise et, dans le même temps, de soutenir un certain nombre d’hommes et de femmes politiques modérés et/ou qui luttaient pour un contrôle des armes à feu ou pour des mesures sanitaires en matière d’alimentation ou encore pour la protection de l’environnement mais sans descendre lui-même dans l’arène publique.

     

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  • Présidentielle USA 2016. Les «machines à perdre» républicaine et démocrate à toute vapeur!

    En regardant les sondages sur la présidentielle américaine, on peut se demander qu’elle «machine perdre», de la démocrate ou de la républicaine va l’emporter le 8 novembre prochain laissant ainsi gagner l’adversaire!

    Tout le monde connait le fonctionnement d’une machine à perdre qui est en l’occurrence, pour un parti, de nommer un candidat à la présidentielle qui n’a aucune chance de l’emporter.

    Une machine particulièrement efficace aux Etats-Unis pour couler un parti depuis que les primaires sont vraiment démocratiques, a qui a abouti à des situations où, du côte républicain, la candidature de Barry Goldwater face à Lyndon Johnson en 1964, et du côté démocrate, la candidature de George Mc Govern face à Richard Nixon en 1972, furent de véritables désastres.

    Or, en cette année 2016 où le populisme et la démagogie sont présents en force du côté républicain mais aussi du côté démocrate avec cette «rage» de ces sympathisants des deux bords qui constituent la base de l’électorat des primaires, on pourrait aboutir à la nomination de ce que l’on appelle deux candidats inéligibles!

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