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parti démocrate

  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Etats-Unis, le répit démocratique

    Le Parti démocrate vient donc de gagner la Chambre des représentants, ce qui n’a pas empêché Donald Trump de tweeter qu’il s’agissait d’une «immense victoire» pour sa personne et le Parti républicain!

    On n’est, bien entendu, guère étonné par cette réaction d’un personnage qui a érigé le mensonge en mode de gouvernement.

    Mais on est abasourdi que les médias français reprennent cette idée que Trump a quelque part gagné parce qu’il n’y a pas eu de «raz-de-marée démocrate (que personne ne prévoyait), que le Sénat demeurerait républicain (ce qui était prévu par les instituts de sondage) et que les gains chez les gouverneurs des Etats ne sont pas aussi grands qu’espérés par les démocrates.

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  • Obama contre Trump, le vrai combat politique américain

    Il y a une dimension que les commentateurs de tous bords et de toutes catégories oublient facilement: Trump n’est pas majoritaire et ne l’a jamais été.

    Certes, il peut se targuer de la légitimité du système électoral américain (qui n’est pas remis en question pas la majorité des citoyens eux-mêmes) mais cela n’empêche qu’il a été le président le plus mal élu avec trois millions de voix de moins que la perdante, Hillary Clinton…

    De même, pour ce que cela vaut, il n’a jamais été majoritaire dans les sondages, sa cote de popularité demeurant anormalement basse depuis son élection en novembre 2016.

    Peut-être que grâce aux élections de mi-mandat du 8 novembre prochain, il le sera pour la première fois, par Parti républicain interposé, mais cela n’en prend pas le chemin.

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  • Présidentielle USA 2016. Les rêves américains opposés de Clinton et Trump

    Contrairement à ce que l’on pense, il n’existe pas «un rêve américain» unique qui serait, à la fois, défini exactement et qui serait commun à tous les Américains.

    Le Rêve américain est multiple, on peut même dire que chaque Américain a son propre rêve (et que beaucoup de personnes, à travers le monde ont leur «rêve américain»).

    Sur l’échiquier politique, le rêve se décline également par rapport aux convictions de chaque idéologie.

     

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  • Présidentielle USA 2016. La coalition Clinton veut réunir Centre et Gauche

    Dans son discours d’acceptation de sa désignation comme candidate du Parti démocrate à la présidentielle du 8 novembre, Hillary Clinton a voulu sceller une coalition entre le Centre et la Gauche.

    La centriste a d’abord abordé ses thèmes traditionnels

    Elle a martelé à plusieurs reprises son slogan «We’re stronger together» (nous sommes plus forts ensemble).

    De même elle a indiqué qu’elle serait «la présidente des démocrates, des républicains et des ‘independents’».

     

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  • Présidentielle USA 2016. Convention démocrate: d’Obama à Kaine, l’humanisme progressiste à l’honneur

    En attendant ce soir où Hillary Clinton fera son premier discours en tant que candidate officielle du parti, la Convention démocrate de Philadelphie a connu des moments forts hier soir.

    Les discours de Barack Obama, de Joe Biden et celui de Tim Kaine après sa désignation comme candidat à la vice-présidence, ont montré la vitalité de l’humanisme progressiste dans le parti, une sorte d’écho à la gauchisation de certains de ses militants autour des thèses du sénateur socialiste du Vermont, Bernie Sanders.

    Car c’est bien autour du Centrisme et du centre-gauche que les interventions du président en place et de son vice-président et de son éventuel successeur se sont placées.

     

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  • Présidentielle USA 2016. Barack Obama: «Je crois en Hillary Clinton»

    «Je suis ici aujourd’hui parce que je crois en Hillary Clinton», a déclaré Barack Obama lors d’un meeting en commun avec la candidate du Parti démocrate à la présidentielle à Charlotte en Caroline du Nord.

    Il a ajouté qu’elle était la plus qualifiée pour être la prochaine présidente.

    Même si le soutien du président centriste pour une candidate centriste ne faisait aucun doute tellement leurs points de vue sont proches ainsi que leurs projets politiques, celui-ci est total pour celle qui, après avoir été une adversaire lors de la primaire de 2008 puis sa secrétaire d’Etat de 2009 à 2012, est devenue une amie, selon les mots même de Clinton, et son héritière politique.

     

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  • Présidentielle USA 2016. Tuerie d’Orlando: Non, Trump ne monte pas dans sondages grâce à ses propos haineux

    Reprenant une dépêche du bureau français de l’agence de presse britannique Reuters, nombre de médias français ont titré que grâce à ses propos inqulalifiables après la tuerie d’Orlando, Donald Trump était en hausse dans les sondages.

    Or, c’est tout le contraire!

    Tous les sondages réalisés après les attaques haineuses et mensongères du promoteur immobilier newyorkais ont montré un trou d’air parfois très important dans la vision qu’ont de lui les Américains.

    Il a atteint ainsi son plus bas niveau en ayant 70% d’opinion négatives à son encontre.

    En outre, dans tous les sondages pour la présidentielle qui sont compilés par plusieurs sites, il est battu par la centriste Hillary Clinton.

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  • Hillary Clinton fait l’Histoire

    Ça y est: selon les décomptes de l’Associated press, la principale agence de presse américaine, ainsi que de nombreux médias, Hillary Clinton a obtenu les 2383 délégués nécessaires pour être la candidate du Parti démocrate à l’élection présidentielle du 8 novembre prochain et ce, avant même les résultats des primaires de Californie et du New Jersey de ce mardi 7 juin.

    La centriste est ainsi la première femme dans l’Histoire des Etats-Unis d’Amérique a être la représentante d’un des deux principaux partis de la vie politique qui se partagent le pouvoir pratiquement depuis l’indépendance du pays (avec des noms différents).

    Et elle a de grandes chances d’être élue la première présidente des Etats-Unis à la fin de l’année.

     

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  • Présidentielle USA 2016. Hillary Clinton, sa campagne, ses problèmes, ses handicaps

    Il est bon ton d’affirmer que la centriste Hillary Clinton mène une mauvaise campagne, que si elle est une politique compétente, elle est, en revanche, une mauvaise candidate, qu’elle a une personnalité qui est tout sauf charismatique, qu’elle n’est pas capable de se faire aimer ou même d’inspirer confiance, que ses choix stratégiques et tactiques ne sont pas toujours très heureux.

    En un mot, elle ne serait ni «likable» (suscitant la sympathie), ni «electable» (provoquant l’envie de voter pour elle) pour nombre de commentateurs, deux défauts rédhibitoires pour qui se présente devant le peuple pour être élu et le gouverner.

    Ces déficits expliqueraient en grande partie pourquoi la centriste, face à des trublions de second ordre, Donald Trump à sa droite et Bernie Sanders à sa gauche, ne parviendrait pas à faire prévaloir la raison, mais aussi son expérience et ses qualités dans cette campagne présidentielle et ne serait pas capable de tailler en pièces les deux populistes démagogues farfelus qui lui sont opposés.

     

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  • Présidentielle USA 2016. Les libertariens vont-ils faire perdre Trump?

    Le parti libertarien s’apprête à présenter son candidat à la présidence qui sera désigné officiellement à sa convention qui se tient se week-end à Orlando (Floride).

    Il s’agira, selon toute vraisemblance, de Gary Johnson, l’ancien gouverneur républicain du Nouveau Mexique et son colistier sera William Weld, un autre ancien gouverneur républicain mais du Massachussetts.

    Dans les derniers sondages ce «ticket» obtient 10% des intentions de vote, le double de ce que Johnson obtenait lors de l’élection de 2012 où il était déjà le candidat républicain.

    Après le grave échec du sénateur républicain Rand Paul dans la course des primaires en tant que candidat estampillé libertarien, cette candidature à l’élection du 8 novembre pourrait prendre de l’ampleur alors que Donald Trump est officiellement le candidat républicain (il vient d’obtenir le nombre requis de délégués requis), ce dernier n’étant absolument pas compatible jusqu’à présent avec les thèses et les thèmes défendus par le mouvement libertarien.

     

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