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  • Bayrou, premier ministre voire président, est-ce encore possible?

    Rien n’est acté avant que le rideau ne soit définitivement tombé.

    Surtout au théâtre et… en politique souvent comparée à celui-ci.

    Alors que de Gaulle pensait avoir laissé passer son tour, il est revenu en 1958 pour gouverner la France jusqu’en 1969.

    Bayrou, qui admire le général, tout au moins son parcours, peut-il faire un comeback aussi tonitruant, lui qui a laissé échapper une chance historique en 2017 de devenir président puis que Macron – qui lui a piqué cette chance – ne l’a pas nommé premier ministre.

    Les conditions ne sont sans doute pas encore réunies pour Matignon mais pourrait l’être.

    Quant à l’Elysée, cela semble plus compromis mais pas définitivement chimérique.

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  • MoDem-UDI, la compétition entre centristes «de l’intérieur» et ceux «de l’extérieur»

    Et si, in fine, Emmanuel Macron et LREM avait plus besoin des centristes «de l’extérieur», notamment ceux de l’UDI, que ceux «de l’intérieur», c’est-à-dire du MoDem.

    Cette hypothèse, portée implicitement par Jean-Christophe Lagarde, le patron de l’UDI, n’est pas aussi incongrue qu’elle puisse paraître au premier abord.

    Car, paradoxalement, la relation semble plus claire entre LREM et l’UDI qu’entre le MoDem et LREM et même entre l’UDI et le MoDem.

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  • Présidentielle 2017. Sondage: Juppé remporte la primaire LR grâce aux seuls centristes

    Selon la sixième vague de l’enquête électorale baptisée «Comprendre 2017» lancée par le Cevipof (centre d’étude politique de Sciences po Paris) en association avec IPSOS et Le Monde, la primaire de la LR devrait être remportée par Alain Juppé avec 56% des voix contre 44% à Nicolas Sarkozy essentiellement grâce aux voix des sympathisants des partis centristes (MoDem et UDI).

     

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  • Présidentielle 2017. Lagarde ne veut pas ni de Bayrou ni de Sarkozy

    Dans une interview au site Atlantico, Jean-Christophe Lagarde estime que «le contexte politique et médiatique français est incroyablement conservateur. Depuis des années, on nous repropose les mêmes acteurs et les mêmes échecs. Si je suis bien déterminé à une chose, c'est que le choix proposé aux Français pour 2017 ne soit pas le même que celui proposé en 2012».

     

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  • Bayrou se voit en grand réunificateur centriste

    Une brève parue la semaine dernière dans le magazine l’Express se faisait l’écho d’un déjeuner entre François Bayrou et Hervé Morin.

    Au-delà de cette rencontre qui n’est pas un événement ni une première depuis que les deux hommes se sont réconciliés, elle recouvre des objectifs différents pour chacun des deux hommes.

    Si Morin entend utiliser le président du Mouvement démocrate dans son entreprise de déstabilisation de l’UDI et de destruction politique totale de son ennemi juré, Jean-Christophe Lagarde, Bayrou, lui, a un autre agenda.

     

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  • Présidentielle 2017. Juppé en difficultés, Bayrou va-t-il gagner son pari?

    François Bayrou est persuadé depuis longtemps qu’Alain Juppé ne peut pas gagner la primaire de LR et que le candidat de la Droite en 2017 sera Nicolas Sarkozy.

    Et si c’est Sarkozy, alors, lui aussi sera candidat à la présidentielle.

    Cette conviction est en train de devenir réalité avec une baisse de Juppé dans les sondages auprès des sympathisants de droite et, surtout, des sympathisants et des militants de LR.

    Dès lors, même si le maire de Bordeaux demeure en tête dans les baromètres d’opinion et y distance largement l’ancien président de la république, la menace Sarkozy redevient une réalité pour la primaire de LR car l’écart s’est fortement réduit.

     

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  • Présidentielle 2017. La candidature de Juppé «intéresse» Bayrou…

    Plus la campagne présidentielle avance, plus les sondages sont encourageants vis-à-vis d’une candidature de François Bayrou plus ce dernier met des bémols à son soutien à Alain Juppé.

    Dans une interview à la chaîne LCP, il a déclaré qu’ «il y a l’effort que propose Alain Juppe, cet effort m’intéresse» pour expliquer qu’il soit «allié» et non «rallié» au maire de Bordeaux dont il trouve «la personnalité» «intéressante», ajoutant dans la foulée qu’il avait des «nuances» avec ses positions et qu’il en discuterait le moment venu avec… l’intéressé.

    On se rappelle que voici peu de temps, François Bayrou a affirmé vouloir «faire bouger» Alain Juppé pour qu’il se rapproche de ses positions centristes.

     

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  • Axe central: Macron, l’homme qui énerve les gardiens des temples

    Tant à droite qu’à gauche et au centre, Emmanuel Macron a d’abord été accueilli avec bienveillance.

    Puis il a été considéré avec un petit sourire moqueur aux lèvres avant de commencer à agacer.

    Aujourd’hui, le sentiment qui domine l’entière classe politique est plutôt l’inquiétude d’où une montée de l’agressivité qui va souvent de pair à son encontre.

    Car si certains prédisent un flop de son initiative En-marche – c’est-à-dire qu’il le souhaite ardemment! – c’est plutôt à un barrage anti-Macron que l’on assiste ces dernières semaines afin de contrer son ascension dans les sondages et la réalité même de l’espace politique qu’il veut incarner.

    C’est le cas, d’abord, chez les gardiens des temples que sont les partis politiques où le «Macron bashing» est désormais la règle.

     

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  • Axe central, danger mortel pour les partis centristes?

    Alors qu’ils devraient se féliciter de l’émergence d’un axe central où les réformistes de droite et les libéraux de gauche les rejoignent sur leurs positions, on constate que les partis centristes ressentent plutôt une grande peur que ces nouveaux venus ne les phagocytent avant de les avaler et de les faire disparaître dans une grande mouvance «centrale».

    Car, oui, l’axe central devient de jour en jour une réalité même si elle ne l’est pour l’instant qu’au niveau d’une ligne politique et non de celui d’un regroupement dans une coalition ou dans un parti prêts à se présenter aux élections puis à gouverner ensemble.

    Mais cette réalité profite surtout aux réformistes de droite avec Alain Juppé et aux libéraux et réformistes de gauche avec Emmanuel Macron et Manuel Valls.

     

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  • Présidentielle 2017. Pour 65% des Français, Bayrou serait un mauvais président

    Selon un sondage Odoxa pour BFMTV et Le Parisien, 65% des Français estiment que François Bayrou serait un mauvais président de la république comme 35% qui pensent qu’il serait un bon chef de l’Etat.

    A noter qu’il obtient de bien meilleurs scores auprès de l’électorat de gauche (44% le voient en bon président) qu’auprès des sympathisants de droite (73% le voient en mauvais président contre seulement 27% en bon président).

    Cela le place en troisième position derrière Alain Juppé et Emmanuel Macron qui sont les deux seuls personnalités politiques à obtenir une balance positive, 58% des Français pour Juppé et 52% pour Macron qui estiment qu’ils seraient de bons présidents.

     

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