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nicolas sarkozy

  • Pourquoi les centristes ne doivent pas voter Sarkozy

    Or donc Nicolas Sarkozy vient d’annoncer sa candidature via… la quatrième de couverture de son nouveau livre, «Tout pour la France»!

    Au-delà de cette «nouveauté» ou plutôt cette bizarrerie pour se déclarer candidat, le reste est bien traditionnel et peu engageant.

    Ainsi, il déclare: «J'ai décidé d'être candidat à l'élection présidentielle de 2017. La France exige qu'on lui donne tout. J'ai senti que j'avais la force pour mener ce combat à un moment si tourmenté de notre histoire».

    Dont acte.

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  • Présidentielle 2017. Lagarde ne veut pas ni de Bayrou ni de Sarkozy

    Dans une interview au site Atlantico, Jean-Christophe Lagarde estime que «le contexte politique et médiatique français est incroyablement conservateur. Depuis des années, on nous repropose les mêmes acteurs et les mêmes échecs. Si je suis bien déterminé à une chose, c'est que le choix proposé aux Français pour 2017 ne soit pas le même que celui proposé en 2012».

     

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  • Présidentielle 2017. Juppé en difficultés, Bayrou va-t-il gagner son pari?

    François Bayrou est persuadé depuis longtemps qu’Alain Juppé ne peut pas gagner la primaire de LR et que le candidat de la Droite en 2017 sera Nicolas Sarkozy.

    Et si c’est Sarkozy, alors, lui aussi sera candidat à la présidentielle.

    Cette conviction est en train de devenir réalité avec une baisse de Juppé dans les sondages auprès des sympathisants de droite et, surtout, des sympathisants et des militants de LR.

    Dès lors, même si le maire de Bordeaux demeure en tête dans les baromètres d’opinion et y distance largement l’ancien président de la république, la menace Sarkozy redevient une réalité pour la primaire de LR car l’écart s’est fortement réduit.

     

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  • Présidentielle 2017. Sondage: trous d’air pour Bayrou et Juppé

    La nouvelle vague du sondage BVA pour Orange et la presse régionale montre une baisse dans les intentions de vote au premier tour du favori du scrutin, Alain Juppé, mais également de François Bayrou au cas où le maire de Bordeaux ne serait pas le vainqueur de la primaire de LR.

    Ainsi, Alain Juppé perd deux points à 36% des intentions de vote mais demeure largement en tête devant Marine Le Pen (26%) et François Hollande à égalité avec Jean-Luc Mélenchon (14%).

    François Bayrou, lui, perd entre 0,5 point (hypothèse Sarkozy comme candidat LR) et 4 points (hypothèse Le Maire candidat LR) et recueille entre 12% des intentions de vote, face à Bruno Le Maire et François Fillon, et 13% face à Nicolas Sarkozy.

     

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  • Présidentielle 2017. Sondages: Bayrou largement battu par Macron, l’axe central en force

    Selon un sondage Elabe pour Les Echos et Radio classique, s’il devait y avoir une candidature d’Emmanuel Macron à la présidentielle de 2017, celui-ci se qualifierait pour le second tour s’il était opposé à Nicolas Sarkozy (25% contre 18%) ou Bruno Le Maire (25,5% contre 18%) comme candidats LR et à François Bayrou (11% dans le premier cas, 11,5% dans le deuxième).

    Le ministre de l’Economie arriverait même en tête des intentions de vote au premier tour, devant Marine Le Pen (25,5% contre 25% avec Le Maire et 25% contre 24% avec Sarkozy).

    En revanche, il serait largement battu par Alain Juppé (21% contre 36%).

    Ce dernier, comme à son habitude, serait en tête dans tous les cas de figure au premier tour (candidat socialiste Hollande, 39% contre 15%, ou Valls, 38% contre 15,5%, ou Macron, 36% contre 21%), largement devant Marine Le Pen (qui obtiendrait entre 23% et 26%).

     

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  • Présidentielle 2017. Les «déçus» de Hollande vers Mélenchon, pas Bayrou

    Deux sondages viennent d’être publiés montrant, à la fois, la chute des intentions de vote en faveur de François Hollande, une stabilité, voire une baisse, de celles en faveur de François Bayrou et une hausse de celles de Jean-Luc Mélenchon, le tout dans un second tour où s’affronteraient le candidat LR quel qu’il soit (Juppé, Sarkozy, Fillon, Le Maire) et Marine Le Pen.

    Ainsi, dans un sondage BVA pour la presse régionale, au premier tour, dans le cas de figure où s’affrontent Sarkozy, Hollande, Bayrou et Mélenchon, le premier obtient 22% des voix, le deuxième, 14%, le troisième et le quatrième, 12%.

     

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  • Présidentielle 2017. Sarkozy: plus grande aversion des centristes du MoDem que ceux de l’UDI

    Une chose est sûre: l’électeur centriste ne veut vraiment pas d’un retour de l’ancien président de la république en 2017 comme le confirme une nouvelle fois un sondage IFOP pour le think tank de droite, la fondation Concorde, sur «Le regard des Français pour Nicolas Sarkozy».

    Un sondage déjà réalisé sur Alain Juppé et François Fillon et qui le sera bientôt sur Bruno Le Maire, les quatre principaux candidats à la primaire de LR en novembre prochain (même si Sarkozy ne s’est pas encore officiellement déclaré.

    Ce qui est également très intéressant dans ce sondage, c’est que cet électeur centriste qu’il soit du MoDem ou de l’UDI n’a pas la même dureté envers le président de Les républicains.

    Ainsi, pratiquement à toutes les questions, il y a deux fois plus de sondés sympathisants, voire beaucoup plus, de l’UDI qui donnent une réponse positive sur l’ancien chef de l’Etat que de sondés sympathisants du MoDem.

     

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  • Présidentielle 2017. Juppé: «central», «centriste» ou seulement opportuniste?

    Nicolas Sarkozy et ses amis l’accusent d’être un centriste caché dans un déguisement d’homme de droite.

    François Hollande et ses amis l’accusent d’être un droitiste déguisé dans un homme du Centre.

    Les amis d’Alain Juppé le voient en homme «central» qui défie les clivages bien qu’il soit, ajoutent-ils immédiatement, de droite.

    Quant aux centristes, ils aimeraient bien le récupérer mais ont surtout peur de se faire récupérer par lui comme jadis par Balladur…

    Le positionnement politique d’Alain Juppé, on le voit, est tout sauf clair et, surtout, anodin, tant pour ses soutiens que pour ses adversaires.

    Or, le qualifier auprès des Français, c’est soit vouloir le décrédibiliser, soit tenter de louer son originalité.

     

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  • Présidentielle 2017. Est-ce vrai que la Droite ne peut gagner sans le Centre?

    Selon les leaders centristes, Jean-Christophe Lagarde en tête dont c’est un des slogans favoris qu’il ressort systématiquement dans es interviews, la Droite ne pourrait gagner en 2017 sans le Centre, sous-entendu, LR a absolument besoin des voix UDI pour s’imposer.

    Cette affirmation n’est malheureusement étayée par aucune réalité électorale, ni sondagière.

    Ainsi, si le candidat LR serait Alain Juppé, cas de figure le plus probable actuellement, celui-ci n’a besoin ni des voix UDI, ni même des voix MoDem que lui offre Bayrou, au premier tour pour s’imposer devant le candidat de gauche et être le vainqueur au second tour.

    Les sondages qui ont testé le cas de figure où Alain Juppé et François Bayrou seraient tous les deux concurrents au premier tour accordent, comme celui réalisé par IPSOS pour le Cevipof de Sciences Po Paris et Le Monde en janvier dernier, autour de 8% au président du Mouvement démocrate et plus de 30% au maire de Bordeaux.

     

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  • Présidentielle 2017. Les électeurs centristes aiment beaucoup Juppé et vraiment pas Sarkozy!

    L’IFOP a réalisé un sondage pour iTélé sur les quatre principaux candidats à la primaire de LR, François Fillon, Alain Juppé, Bruno Le Maire et Nicolas Sarkozy, à propos de six grandes capacités politiques (tenir ses promesses, réformer le pays, avoir des propositions crédibles, être proche des préoccupations des gens, incarner le renouveau politique, avoir l’étoffe d’un président de la république).

    Chez les électeurs centristes (ceux qui ont voté François Bayrou en 2012), aucune surprise, Alain Juppé écrase la concurrence en étant en tête sur les six qualités, même celle d’incarner le renouveau du personnel politique, devant Bruno Le Maire, pourtant plus jeune que lui de 24 ans et qui a fait de son âge sa principale arme pour bousculer les hiérarchies sondagières actuelles…

     

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