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françois fillon

  • Présidentielle 2017. Les «déçus» de Hollande vers Mélenchon, pas Bayrou

    Deux sondages viennent d’être publiés montrant, à la fois, la chute des intentions de vote en faveur de François Hollande, une stabilité, voire une baisse, de celles en faveur de François Bayrou et une hausse de celles de Jean-Luc Mélenchon, le tout dans un second tour où s’affronteraient le candidat LR quel qu’il soit (Juppé, Sarkozy, Fillon, Le Maire) et Marine Le Pen.

    Ainsi, dans un sondage BVA pour la presse régionale, au premier tour, dans le cas de figure où s’affrontent Sarkozy, Hollande, Bayrou et Mélenchon, le premier obtient 22% des voix, le deuxième, 14%, le troisième et le quatrième, 12%.

     

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  • Le «ni-droite-ni-gauche» Macron inquiète le «central» Juppé

    La réaction agressive d’Alain Juppé à la création du mouvement En-marche d’Emmanuel Macron montre que les deux hommes labourent le même terrain politique, ce fameux axe central allant des gaullo-réformistes de droite aux sociaux-libéraux de gauche en passant par les libéraux-sociaux du Centre.

    Ainsi, l’ancien premier ministre de Jacques Chirac et favori des sondages pour succéder à François Hollande à l’Elysée en 2017 a déclaré:

    «Un de nos principaux ministres, celui qui est chargé de l'Economie, qui a un très bon bilan à son actif depuis qu'il est ministre (...), eh bien ce ministre, au lieu de s'intéresser à son métier de ministre (...), il vient de créer un nouveau parti, pour préparer sa future trajectoire politique. (…) Vous pensez que c'est à ça qu'un ministre doit consacrer son temps aujourd'hui? Créer un nouveau parti plutôt que de faire son boulot de ministre?».

    Pourquoi de tels propos?

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  • Présidentielle 2017. Est-ce vrai que la Droite ne peut gagner sans le Centre?

    Selon les leaders centristes, Jean-Christophe Lagarde en tête dont c’est un des slogans favoris qu’il ressort systématiquement dans es interviews, la Droite ne pourrait gagner en 2017 sans le Centre, sous-entendu, LR a absolument besoin des voix UDI pour s’imposer.

    Cette affirmation n’est malheureusement étayée par aucune réalité électorale, ni sondagière.

    Ainsi, si le candidat LR serait Alain Juppé, cas de figure le plus probable actuellement, celui-ci n’a besoin ni des voix UDI, ni même des voix MoDem que lui offre Bayrou, au premier tour pour s’imposer devant le candidat de gauche et être le vainqueur au second tour.

    Les sondages qui ont testé le cas de figure où Alain Juppé et François Bayrou seraient tous les deux concurrents au premier tour accordent, comme celui réalisé par IPSOS pour le Cevipof de Sciences Po Paris et Le Monde en janvier dernier, autour de 8% au président du Mouvement démocrate et plus de 30% au maire de Bordeaux.

     

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  • Présidentielle 2017. Les électeurs centristes aiment beaucoup Juppé et vraiment pas Sarkozy!

    L’IFOP a réalisé un sondage pour iTélé sur les quatre principaux candidats à la primaire de LR, François Fillon, Alain Juppé, Bruno Le Maire et Nicolas Sarkozy, à propos de six grandes capacités politiques (tenir ses promesses, réformer le pays, avoir des propositions crédibles, être proche des préoccupations des gens, incarner le renouveau politique, avoir l’étoffe d’un président de la république).

    Chez les électeurs centristes (ceux qui ont voté François Bayrou en 2012), aucune surprise, Alain Juppé écrase la concurrence en étant en tête sur les six qualités, même celle d’incarner le renouveau du personnel politique, devant Bruno Le Maire, pourtant plus jeune que lui de 24 ans et qui a fait de son âge sa principale arme pour bousculer les hiérarchies sondagières actuelles…

     

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  • Présidentielle 2017. Les centristes aiment bien Fillon mais pas autant que Juppé

    Comme elle l’avait fait pour Alain Juppé, la fondation Concorde, un think tank de droite, a commandé un sondage à l’IFOP sur «Le regard des Français pour François Fillon».

    Cette étude montre que les électeurs centristes pourraient se ranger majoritairement derrière l’ancien premier ministre de Nicolas Sarkozy s’il était désigné le candidat de la Droite à l’issue de la primaire.

    Néanmoins, il demeure sur sa personne et ses capacités loin derrière les scores d’adhésions obtenus par Alain Juppé auprès de l’électorat de l’UDI et du Mouvement démocrate.

    Le sondage montre une plus grande proximité sur la vision de Fillon des électorats de l’UDI et de LR que de ceux de l’UDI et du MoDem.

    C’est d’ailleurs l’électorat de l’UDI qui a souvent la meilleure image de Fillon devant celui de LR.

     

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  • Présidentielle 2017. Sondage: Bayrou en hausse profite de la baisse de Hollande

    A plus d’un an de la présidentielle, un sondage ne dit pas grand-chose sur l’élection elle-même mais beaucoup plus sur l’état actuel de l’opinion.

    Car si ceux-ci avaient donné le résultat par le passé alors Edouard Balladur, Lionel Jospin, Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy (à la place de Hollande) auraient été élus...

    Toujours est-il que le dernier sondage IFOP pour iTélé, Paris Match et Sud radio montre une baisse très sensible des intentions de vote en faveur de François Hollande et celui qui en profite se nomme François Bayrou.

     

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  • Le libéralisme n’est pas monolithique mais son point d’équilibre est au centre

    Le Libéralisme, et c’est tant mieux, semble être devenu en France un héritage national commun à tous les courants politiques excepté les extrêmes.

    Cela n’a pas toujours été le cas et cette appropriation semble parfois un peu artificielle sur certains points quand elle n’est pas bâtie sur une méconnaissance de ce qu’est le libéralisme par ceux qui s’en revendiquent.

    Rappelons que le Libéralisme est né de cette idée théorisée par John Locke que les individus pouvaient se gouverner eux-mêmes si leur puissance à chacun (théorisée, elle, par Hobbes qui en faisait pour la première fois un attribut ontologique de l’individu) était transformée dans des droits qui devaient obéir à la loi.

     

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  • Présidentielle: où sont les Obama et Trump français?

    Nous autres, Français, sommes étonnés, amusés, voire un peu beaucoup condescendants, de voir que des personnalités comme Barack Obama (un «inconnu» noir), Ronald Reagan (un acteur), Ross Perot ou Donald Trump (deux milliardaires excentriques et narcissiques), Ben Carson (un neurochirurgien démagogue et extrémiste religieux) ou même Dwight Eisenhower (un général sans aucune expérience politique) puissent se présenter à la présidence des Etats-Unis et même parfois être élus.

    Pour certains d’entre nous cela jette un certain opprobre sur les Etats-Unis car la politique, selon notre culture en la matière, est trop sérieuse pour être confiée à ce genre de candidats.

    Pour d’autres, à l’opposé, cela montre la vitalité de la démocratie américaine avec, comme justification, cette extraordinaire victoire de Barack Obama en 2008 et sa non moins extraordinaire réélection en 2012 qui montrait, au-delà du choix partisan, que son élection n’avait pas été un événement sans lendemain issue d’une exaltation passagère et repentante du peuple étasunien.

     

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    Lien permanent Catégories : politique 0 commentaire
  • Jean-Christophe Lagarde, danger potentiel pour le Centre et l’UDI?

    Une des mises en garde répétées d’Hervé Morin, de Jean-Christophe Fromantin et de leurs amis respectifs avant, pendant et après l’élection de Jean-Christophe Lagarde au poste de président de l’UDI a été de dénoncer sa dangerosité sur la pérennité de la formation de centre-droit mais aussi sur ce qu’est et doit être le Centre, pointant ses pratiques, selon eux peu orthodoxes, voire de voyou, mais aussi une parole qui souvent dérape.

    Quelques mois après son intronisation, certains éléments du discours et des actes de Lagarde laissent penser qu’ils n’avaient pas tout à fait tort.

    L’impression que donne le président de l’UDI est double.

    D’une part, celle d’une volonté d’imposer l’UDI et sa personne dans le débat politique à tout prix.

    Voilà qui n’est pas négatif si l’on pense que le parti a un très important déficit de crédibilité dans l’opinion publique et que lui-même a un déficit de notoriété encore plus important.

    Sans oublier que le Centre est aujourd’hui incarné, pour la plupart des gens, par François Bayrou, président du Mouvement démocrate, mais par aucune personnalité de l’UDI depuis la retraite politique de Jean-Louis Borloo, comme vient de le rappeler un sondage sur les personnalités qui feraient un «bon président» où Lagarde, certes apparaît mais dans les derniers du classement.

    Dans cette optique, l’opposition frontale face à l’extrême-droite et au FN permet de positionner l’UDI comme la formation la plus pugnace contre leurs thèses et de donner de la visibilité médiatique à son président, le tout dans une légitimité sur le combat contre l’extrême-droite qui ne souffre aucune discussion.

    Et puis, bousculer par une agressivité au bon sens du terme les situations acquises, tant à droite qu’à gauche qu’à l’intérieur même des partis centristes où certains notables locaux ont tout verrouillé au mépris de toute dynamique, est salutaire.

    D’autre part, celle d’un homme qui est dans la surenchère systématique et dans la réaction virulente plutôt que dans l’échange d’arguments.

    Après son élection à la tête de l’UDI, on pensait qu’il adopterait un profil plus consensuel que celui qu’on lui connaissait depuis des années à l’UDF puis au Nouveau centre et enfin à l’UDI et qui a poussé beaucoup de dirigeants de cette dernière à soutenir Hervé Morin pour la présidence de la formation de centre-droit.

    Pas du tout. A plusieurs occasions, Jean-Christophe Lagarde a sur-réagi à une situation ou à une critique, faisant écho à ses humeurs dénoncées par ses opposants ainsi qu’à son surnom de «Sarkozy du 9-3», «compliment» donné, entre autres, par ses «amis» (critiques) UMP du département...

    Ce fut le cas, dès sa prise de fonction de président de l’UDI, lorsqu’il a traité sans aucune preuve de «menteur» le secrétaire général de l’Elysée, Jean-Pierre Jouyet, lors de la polémique sur les propos tenus par François Fillon à l’encontre de Nicolas Sarkozy, une charge qui n’avait strictement aucun intérêt politique, ni pour lui, ni pour l’UDI, ni pour le Centre – il suffisait qu'il dise qu'il s'agissait d'une histoire entre le PS et l'UMP – mais qui semblait être un acte d’autorité (pour s’imposer) et de reconnaissance (pour exister).

    Cela a été le cas sur la loi Macron qu’il a critiqué sans cesse et sans nuance alors qu’elle contenait, aux dires mêmes de plusieurs membres éminents de son parti, nombre de mesures positives que prônent, en plus, les centristes

    Bien avant même de pouvoir savoir si la loi était amendable, il a déclaré qu’il ne la voterait pas quoiqu’il arrive.

    Une posture d’opposition systématique qui le renvoie à son statut de second couteau qu’il a connu et qu’il a détesté de l’UDF à l’UDI et qui le faisait ruer dans les brancards plus que de nécessité.

    Cela vient, à nouveau, d’être le cas sur le conflit en Syrie à propos de la visite d’un sénateur de son parti à Damas pour rencontrer Bachar Al-Assad.

    Dans le dernier cas, non seulement, il a légitimé le voyage de François Zocchetto (en accord avec les sympathisants de son parti selon un sondage) en expliquant même qu’il faudra un jour reparler avec le dictateur syrien.

    Mais, afin de contrer les critiques qui se sont multipliées sur cette visite à un boucher sanguinaire, il en a rajouté plus que de mesure en en profitant, comme l’ont noté les médias, à être le seul représentant d’un parti républicain à critiquer la conduite de la guerre contre Daesh (ou organisation de l’état islamique) et d’attaquer François Hollande directement pour sa soi-disant incohérence dans sa position dans ce conflit.

    Si ses efforts pour donner une exposition à l’UDI et à son président doivent être salués, sa technique du bulldozer qui tire sur tout ce qui bouge pour faire le buzz ou pour avoir un diplôme de bon opposant ou encore pour être continuellement dans le rapport de force peut avoir, in fine, l’effet inverse de celui recherché.

    Car Jean-Christophe Lagarde n’est pas là pour séduire les électeurs de la droite radicale et extrême et encore moins leurs militants.

    Sa base, ce sont des électeurs qui refusent le plus souvent une vision d’opposition basique, un manichéisme partisan et l’absence de nuances, même s’ils sont de droite modérée et dont il doit s’attacher les votes en montrant son sérieux et sa responsabilité.

    Aujourd’hui, peut-être, nombre d’entre eux sont séduits par un discours vigoureux qui permet au Centre de se faire – parfois – entendre.

    Mais plus il sera martelé, avec les dérapages inéluctables qu’il comporte, plus il sèmera le doute chez les Français et, surtout, les sympathisants centristes.

    Plus il continuera à adopter la stratégie médiatique d’un Sarkozy, plus il brouillera le message du Centre.

    A ce moment là, si Jean-Christophe Lagarde n’a pas changé de style, forme et contenu compris, alors oui, il peut devenir dangereux pour l’UDI et le Centre, ouvrant, par ailleurs, un boulevard à François Bayrou qui n’en demande pas tant mais qui connaît bien l’homme.

    Espérons qu’il saura cultiver ses qualités et corriger ses défauts pour être un digne représentant du Centre.

    Il pourrait prendre exemple sur Yves Jégo, candidat malheureux à la présidence de l’UDI, dont les déclarations sont souvent justes «centristement» parlant ces dernières semaines, lui qui fut un inconditionnel de Sarkozy…

    Et ça tombe plutôt bien puisque Jégo et Lagarde sont alliés au sein de la majorité qui gouverne l’UDI.

     

    Alexandre Vatimbella

     

    Voir le site Le Centrisme

     

     

     

  • La législative du Doubs nouveau révélateur de l’axe central

    On a souvent parlé ici de l’axe central, allant des sociaux-libéraux du PS aux libéraux réformistes de l’UMP en passant par les libéraux-sociaux des partis centristes (UDI et Mouvement démocrate), c’est-à-dire d’Alain Juppé à Manuel Valls en passant par Jean-Christophe Lagarde et François Bayrou pour parler de ses «têtes d’affiche».

    Cet axe n’est pour l’instant qu’une convergence de vues et de partage d’analyses sur la situation politique, économique, sociale et sociétale, procédant, plus profondément, d’un attachement aux principes et aux valeurs de la démocratie républicaine mais aussi à ceux et à celles d’une société de la liberté, de la responsabilité et de la solidarité, ainsi que dans la volonté de s’inscrire dans le phénomène de la mondialisation tout en voulant la rendre plus humaniste.

    On ne sait pas encore quand ou même si il se concrétisera en une alliance en bonne et due forme qui pourrait se sceller à l’occasion de l’élection présidentielle de 2017, voire, plutôt, des législatives qui suivront si le vainqueur de la première nommée décide de construire une nouvelle majorité présidentielle que celles que l’on a connues jusqu’à présent depuis le début de la V° République.

    En tout cas, quel que soit le scénario, il devra recevoir l’évidente onction du suffrage universel pour être légitime aux yeux des Français.

    Les protagonistes, tout en reconnaissant qu’ils ont nombre d’affinités et qu’ils sont d’accord sur beaucoup de mesures à prendre pour moderniser et redynamiser le pays face aux défis du XXI° siècle, refusent pour la plupart d’envisager ce regroupement qui serait le fait majeur de la politique française depuis celui du Gaullisme en 1958, pensée centrale jusqu’en 1981et qui continua à être une force majeure au moins jusqu’à la création de l’UMP en 2002.

    Cependant, tout indique dans les faits que cet axe central est bien une réalité qui se dessine au fur et à mesure des événements, petits ou grands.

    Ainsi, il est sûr que la législative partielle dont le premier tour vient de se tenir dans la 4° circonscription Doubs n’est pas un scrutin crucial pour la république.

    Néanmoins, la nouvelle première place du Front national et l’élimination du candidat de l’UMP pour le second tour qui opposera l’extrême-droite à un socialiste a relancé le débat sur le front républicain pour faire barrage aux extrêmes.

    Et entre ceux qui, à droite et au centre sont pour et ceux qui sont contre ce regroupement circonstanciel des partis républicains face aux partis extrémistes, on retrouve la frontière entre ceux qui font partie de cet axe central informel et ceux qui sont à sa droite.

    Evidemment les centristes ont immédiatement annoncé par la voie de Jean-Christophe Lagarde, président de l’UDI, qu’ils feraient barrage à la candidate du Front national.

    Du côté de l’UMP, un clivage est tout de suite apparu entre partisans du front républicain et ses adversaires.

    Dans le premier camp on retrouve sans surprise Alain Juppé, Dominique Busseraud, Jean-Pierre Raffarin, Nathalie Koscuisko-Morizet, par exemple.

    Dans le deuxième, et toujours sans surprise, on retrouve Thierry Mariani, Laurent Wauquiez, Henri Guaino, François Fillon et Nicolas Sarkozy, entre autres.

    D’un côté les libéraux réformistes de l’UMP, de l’autre les tenants d’une droite dure et radicale.

    D’un côté ceux qui souhaitent une véritable alliance avec le Centre et plus éventuellement et ceux qui estiment que l’UMP doit aller chercher ses voix du côté du Front national.

    Il serait erroné de ne voir ici que des agitations électoralistes.

    C’est bien à des différences politiques parfois profondes que l’on a affaire.

    Dès lors, ce sont bien la composition des partis actuels tant à droite qu’à gauche ainsi que les alliances qui ne paraissent plus en phase avec la réalité du pays.

    Ainsi, il serait certainement plus clair pour les électeurs si à côté d’une gauche et d’une droite assumées (et de leurs avatars dangereux des extrêmes), on trouvait un axe central qui refuse l’étatisme, le repli identitaire ainsi que le refus de l’ouverture au monde tout en proposant un ambitieux projet humaniste au pays.

    Alexandre Vatimbella

     

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