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  • MoDem-UDI, la compétition entre centristes «de l’intérieur» et ceux «de l’extérieur»

    Et si, in fine, Emmanuel Macron et LREM avait plus besoin des centristes «de l’extérieur», notamment ceux de l’UDI, que ceux «de l’intérieur», c’est-à-dire du MoDem.

    Cette hypothèse, portée implicitement par Jean-Christophe Lagarde, le patron de l’UDI, n’est pas aussi incongrue qu’elle puisse paraître au premier abord.

    Car, paradoxalement, la relation semble plus claire entre LREM et l’UDI qu’entre le MoDem et LREM et même entre l’UDI et le MoDem.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. L’évidente impopularité de la réforme macronienne

    Les sondages valent ce qu’ils valent et certains sont si mal réalisés qu’ils ne valent pas grand-chose.

    Ayant dit cela, il semble que, globalement, au bout d’un an de pouvoir, Emmanuel Macron possède cote de popularité tout à fait acceptable mais que son action et que nombre de ses réformes, en particulier en matière économique et sociale, soient majoritairement critiquées.

    Voilà qui est plus que normal!

    D’abord, parce que tout action réformatrice est toujours mal vue et décriée par les citoyens et ce,  même s’ils ont voté pour qu’elle soit mise en place.

    Car elle bouleverse souvent réellement ou fantasmagoriquement le quotidien et les habitudes de tout un chacun, cette perturbation, quelle que soit les résultats concrets de la réforme, étant toujours vue négativement.

    Ensuite, parce qu’une action réformatrice prend du temps et que celle entreprise par Emmanuel Macron est de longue haleine.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Un an de France centriste

    Le 7 mai 2017, il y a tout juste un an, Emmanuel Macron devenait le vingt-cinquième président de la république française, le huitième de la V° République et le plus jeune à être jamais élu, à 39 ans.

    Surtout, il devenait le premier président centriste de la V° République (on ne peut pas baptiser de centriste la politique suivie par Valéry Giscard d’Estaing lors de sa présidence de 1974 à 1981 même s’il a gouverné avec les centristes qui ont été ses principaux soutiens et qu’il a souvent voulu être au centre sans être du Centre).

    Ce n’est pas moi qui le dit mais bien les sondages où les sympathisants centristes affirment à un pourcentage écrasant qu’Emmanuel Macron est bien un des leurs.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Non, madame Le Pen, votre «ni, ni» n’a rien à voir avec celui de monsieur Macron

    Madame Le Pen est tenace dans ses mensonges et ses contre-vérités.

    A nouveau, sur les ondes de France Inter, elle a présenté le projet du Front national comme un «ni gauche, ni droite», expliquant qu’elle était d’accord avec Emmanuel Macron sur la disparition de l’ancien clivage politique gauche-droite ( ce que contredit un sondage publié cette semaine…) et que le nouveau oppose les «nationalistes» aux «mondialistes».

    Mais le «ni, ni» de madame Le Pen n’est ni consensuel, ni rassembleur, ni démocratique, c’est-à-dire qu’il n’a strcitement rien à voir avec celui d’Emmanuel Macron.

    Pire, il est totalement mensonger.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Réforme progressiste versus archaïsme clientèliste

    Les centristes sont des réformistes progressistes, c’est ce qui les distingue souvent de la Droite et de la Gauche dont le clientélisme conservateur et même parfois réactionnaire et rétrograde les condamne souvent à l’inaction, voire à laisser pourrir les situations comme on peut s’en rendre compte sur nombre de questions qui, à force, de ne pas être traitées, sont devenus des problèmes quasi-insolubles et ont été une des raisons de l’élection d’Emmanuel Macron.

    Mais attention, être réformiste ne veut pas dire tout réformer et n’importe comment.

     

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Eloge des majorités d’idées

    Nous avons assez critiqué ici l’opportunisme dont beaucoup de personnalités politiques au centre ont en fait leur seule ligne directrice au cours de l’histoire politique.

    De même, nous avons souvent éreinté le comportement de l’UDI et de son président Jean-Christophe Lagarde qui veulent nous faire croire que l’on peut être à la fois dedans et dehors de la majorité présidentielle.

    Alors, ici, je veux positiver ce que l’on appelle des «majorités d’idées» et que le centriste Barack Obama a appelé de ses vœux au début de son premier mandat et a appelé l’«ère post-partisane» pour laquelle j’ai émis nombre de doutes à l’instar de politistes américains sur son émergence dans un espace politique aussi polarisé que celui des Etats-Unis d‘alors.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. L’Etat doit être un outil au service des citoyens

    Pour le Centrisme, l'Etat n’est ni un Léviathan, ni un danger, ni une mère nourricière mais un outil indispensable pour délivrer un service public afin d’organiser la société au mieux et au profit unique des citoyens dans une logique d’efficacité maximum.

    D’où, on le comprend aisément, le besoin de le réformer en France…

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  • De la nécessité (ou non) d’un grand parti libéral et de centre-droit

    Alors que la question semblait un peu marginale, voire une solution d’arrimage pour quelques personnalités politiques en déshérence à droite et au centre-droit depuis la victoire d’Emmanuel Macron, l’élection à la présidence de LR de Laurent Wauquiez et, surtout, ses «dérapages» plus que contrôlés, populistes et radicaux, l’ont remise au cœur de l’actualité politique: faut-il un grand parti de droite libérale et de centre-droit?

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Le «en même temps» macroniste à l’épreuve des choix et de la réalité

    Le «en même temps» macroniste est au cœur de la philosophie politique du nouveau président de la république mais également dans celui de son agir.

    Beaucoup ont critiqué cette locution adverbiale comme ne voulant rien dire ou étant fade, une sorte de «néanmoins», de «cependant» ou de «mais» d’indétermination ou d’irrésolution parce qu’elle ne voudrait pas trancher.

    Or, c’est bien la décision franche, qui a un sens et indique une direction que l’on espère des politiques.

    Pour autant, le «en même temps» peut être interprété de trois manières.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Pour un enseignement scolaire ambitieux et citoyen

    Réformes et modernisations de l’enseignement proposées par le gouvernement et promise par le candidat Macron prennent forme avec, après celle des classes de CP dans les zones sensibles et avant celle de la maternelle, celle du baccalauréat et des filières de la seconde à la terminale (qui ne devrait plus s’appeler ainsi).

    Ici je veux utiliser ce beau mot «enseigner», qui signifie, à la fois, transmettre un savoir mais aussi le faire comprendre et permettre de l’assimiler afin de former et d’épanouir la personnalité d’une personne plutôt que celui d’«éduquer» qui renvoie à une action bien moins libérale et beaucoup plus directive qui est d’inculquer par la discipline un savoir et des règles de comportement.

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