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  • Bayrou: père, grand frère ou rival de Macron?

    Aussitôt que l’on pense que François Bayrou va jouer le jeu d’une majorité présidentielle unie, le voilà qui, par de fines (parfois) et nettement moins fines (souvent) allusions, s’en prend au président de la république et au gouvernement.

    D’où ces questions sur ce qu’il veut en réalité alors même que c’est un pouvoir du Centre, pensée dont il se réclame, qui dirige le pays.

    Connaissant Emmanuel Macron comme on le connait, il doit s’amuser de toutes ces spéculations, hypothèses et théories concernant ses relations avec le président du Mouvement démocrate ainsi que des gesticulations de son «allié», pensant que c’est lui qui dirige le bal et qu’il tient dans ses mains le futur de Bayrou.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Etre et demeurer centriste en pensant le monde d’aujourd’hui

    Avant de rentrer dans le vif du sujet, il convient de préciser ce que c’est que d’être centriste en ce début de XXI° siècle où le mot est utilisé à toutes les sauces et galvaudé plus que de mesure mais aussi de dresser un rapide tableau synthétique de la situation mondiale.
    Etre centriste c’est adhérer d’abord à des valeurs humanistes (liberté, solidarité, tolérance) et à une règle démocratique (égalité).
    Mais c’est également souscrire au principe de juste équilibre (une bonne et pertinente répartition harmonieuse qui vise à donner le plus de satisfaction possible à tous les citoyens tout en sachant que personne ne peut être contenté complètement).
    Et c’est mettre le respect au rang de vertu cardinale et la dignité à celui d’état prépondérant de l’être humain.
    Ensuite c’est être un partisan de la démocratie républicaine et d’une méritocratie où chacun doit avoir les mêmes opportunités de réussir sa vie.
    D’où il résulte qu’il est un libéralisme social.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Encore un effort pour être responsable

    Ils étaient donc majoritaires à regretter le départ de l’activiste écologiste Nicolas Hulot du gouvernement et ils le sont encore pour s’insurger contre la hausse des taxes des carburants dont le but est de protéger l’environnement dont le précité avait la charge.
    Dès lors, on ne sait pas si les Français regrettent le défenseur de l’environnement ou la star du petit écran se baladant en hélicoptère aux quatre coins du monde!
    A coup sûr, ils préfèrent qu’il aille défendre la déforestation de l’Amazonie plutôt qu’il mette en œuvre ses idées radicales en France où cette augmentation de l’essence ferait figure de pipi de chat.
     

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Sans vraie concurrence par de vraie économie libérale

    Les guerres commerciales qui se profilent à l’horizon et initiées par Donald Trump, nous rappellent que, nulle part, n’existe réellement une économie libérale (sauf dans la tête des ennemis du libéralisme qui s’évertuent à répandre leurs mensonges à ce propos).

    Car une économie libérale, soutenue et promue par les centristes, suppose une réelle concurrence entre les acteurs économiques et l’interdiction pour l’un d’entre eux, dans quelque secteur que ce soit, d’avoir un monopole ou d’être dominant (quasi-monopole) ce qui lui permet de contrôler un marché et de dicter ses conditions et, in fine, au détriment du consommateur.

    Aucun pays au monde n’a jamais été dans une économie libérale car, depuis toujours, les règles du marché juste et équitable ne sont appliquées ni aux Etats-Unis, ni en France, ni en Chine, ni ailleurs.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Quand le mot «responsabilité» signifie quelque chose pour les centristes

    Tout comme Barack Obama ne s’est jamais caché derrière quelqu’un ou quelque chose lorsqu’il était critiqué et/ou mis en cause, Emmanuel Macron a martelé hier que si l’on cherchait un responsable dans l’«affaire Benalla», c’était à lui qu’il fallait s’adresser.

    Je n’irai pas plus loin dans ce cas présent et l’on verra, au cours des diverses enquêtes diligentées, s’il s’agit vraiment d’une «affaire» ou d’un simple fait divers très regrettable ainsi qu’où se trouvent les fautes et les manquements et de quels ordres ils ont été.

    Mon propos, ici, est de parler de cette fameuse responsabilité dont tous les hommes et toutes les femmes politiques l’ont continuellement à la bouche et qu’ils balancent aussi sec à la poubelle à chaque fois que la leur est mise en cause.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Simone Veil au Panthéon, le puissant symbole

    La symbolique est particulièrement forte en cette époque troublée.

    On ne sait si Emmanuel Macron y a pensé un peu ou beaucoup quand il a décidé de faire rentrer Simone Veil au Panthéon mais cette femme, au parcours de vie extraordinaire, condense tout ce que la résistance humaniste se doit de faire pour empêcher les ombres assassines de toutes sortes de revenir hanter la démocratie républicaine.

    Elle est l’incarnation de cette résistance.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Pour un service public médiatique

    On parle de service public de l’audiovisuel.

    Mais, au moment où celui-ci va connaître sa énième réforme, n’aurait-on pas du aller plus loin et définir plus largement ce que devrait être un service public médiatique de l’information, de la culture et du divertissement ainsi que ses missions prioritaires.

    Et celui-ci ne devrait-il pas être intégré, sous une même autorité ministérielle dans un grand service public de la transmission du savoir (c’est-à-dire ce que sont actuellement les départements ministériels de l’Education et de la Culture) et de l’information citoyenne?

    Explications.

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  • Bayrou, premier ministre voire président, est-ce encore possible?

    Rien n’est acté avant que le rideau ne soit définitivement tombé.

    Surtout au théâtre et… en politique souvent comparée à celui-ci.

    Alors que de Gaulle pensait avoir laissé passer son tour, il est revenu en 1958 pour gouverner la France jusqu’en 1969.

    Bayrou, qui admire le général, tout au moins son parcours, peut-il faire un comeback aussi tonitruant, lui qui a laissé échapper une chance historique en 2017 de devenir président puis que Macron – qui lui a piqué cette chance – ne l’a pas nommé premier ministre.

    Les conditions ne sont sans doute pas encore réunies pour Matignon mais pourrait l’être.

    Quant à l’Elysée, cela semble plus compromis mais pas définitivement chimérique.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Comprendre le «en même temps» macronien et le «juste équilibre» centriste

    Le «en même temps» macronien est un cousin germain du «juste équilibre» centriste.

    Mais, comme pour le juste équilibre, le «en même temps» est souvent mal compris dans son mécanisme.

    Rappelons d’abord, succinctement, la signification politique de ces deux de termes.

    Le juste équilibre est le principe d’action politique du Centrisme du XXI° siècle.

    Il se définit comme une bonne et pertinente répartition harmonieuse, ne s’intéressant pas à un hypothétique lieu géométrique axial, mais vise à équilibrer la société afin d’y établir un consensus maximal au profit de tous les membres de la communauté.

    Il vise à donner le plus de satisfaction possible à tous les citoyens tout en sachant que personne ne peut être contenté complètement.

    Le «en même temps» est le principe d’action politique du macronisme.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Unir et réunir dans un monde tourmenté, le défi prométhéen du Centrisme

    Unir (dans son pays), réunir (au niveau international) a toujours été une préoccupation des centristes, un objectif du Centrisme et un challenge pour le Centre face à une société depuis toujours en conflit avec elle-même et un monde où la loi du plus fort fait le plus souvent office de droit international.

    C’est encore plus vrai dans ce début de XXI° siècle troublé où, après avoir enfin puis vainement espéré que les valeurs humanistes imprègnent l’Humanité toute entière, c’est le retour à l’égoïsme et l’irresponsabilité chez les individus ainsi qu’à la force des muscles et la pensée primaire unique chez les nations, le tout dans un populisme dévastateur qui menace de tout emporter comme aux plus sombres heures de l’Histoire humaine, en particulier ce XX° siècle où la violence et la mort ont rôdé constamment et que nous croyions avoir quitté à jamais pour ce qui est de sa propension à détruire et à s’autodétruire.

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