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  • Présidentielle USA 2016. Sondages: Trump s’est rapproché de Clinton

    L’histoire des instituts de sondage américains est jalonnée d’erreurs et d’approximations qui viennent de la complexité de sonder un pays comme les Etats-Unis mais également de toute une série de biais sur les échantillons qui sont choisis, voire du sérieux avec lequel sont conduites les enquêtes ou les méthodes utilisées.

    On ne parle même pas des instituts qui sont proches des partis politiques et qui brouillent encore plus les cartes en publiant des sondages qui sont souvent plus favorables à leur camp.

    Ou bien les médias qui ne publient que ceux qui vont dans leur sens idéologique et partisan.

     

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  • Présidentielle USA 2016. Michael Bloomberg dénonce les démagogues

    Il s’est résolu à ne pas se présenter à l’élection présidentielle pour ne pas donner un avantage à Donald Trump et parce qu’Hillary Clinton sera la candidate du Parti démocrate.

    Mais cela n’empêche pas le centriste Michael Bloomberg de continuer son combat contre le populisme et la démagogie que représentent selon lui, et Donald Trump du côté républicain, et Bernie Sanders du côté démocrate.

    Ainsi, dans une tribune publiée sur «Bloomberg view», adaptée d’une adresse aux nouveaux diplômés de l’université du Michigan, l’ancien maire de New York estime que «Nous assistons à un changement inquiétant dans la nature de la politique américaine: une hausse de l'esprit partisan extrême et de l'intolérance sur d'autres points de vue.

     

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  • Présidentielle 2017. Juppé se démarque sèchement de Bayrou

    S’afficher avec le président du Mouvement démocrate ou parler de lui avec sympathie et affabilité quand on fait campagne pour la primaire de LR, voilà qui n’est pas dans les plans d’Alain Juppé.

    Ainsi, si l’on en croit Le Figaro, en réponse à l’interrogation d’un militant LR lors d’un meeting à La Roche-sur-Yon en Vendée, le maire de Bordeaux a affirmé sèchement, «Je n’ai pas d’accord avec François Bayrou».

    Il a même ajouté, cassant, «Il me soutient? Je ne vais pas l’envoyer sur les roses».

    On connait des remerciements plus chaleureux pour un soutien sans condition!

     

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  • La scandaleuse équation Clinton = Trump

    Donald Trump sera donc le candidat du Parti républicain.

    Et si la logique est respectée, il devrait être opposé le 8 novembre prochain à Hillary Clinton qui a toutes les chances de remporter la primaire démocrate face à Bernie Sanders.

    Au vu de qui est Trump, de ses propos injurieux envers tous ceux qu’il hait – et ça en fait du monde –, de son inculture tant en matière politique, économique ou dans le domaine des enjeux de la planète, on pouvait supposer que les médias américains, qui portent une très lourde responsabilité dans la montée en puissance du démagogue populiste – un peu comme les médias français ont «fait» le clan Le Pen – allaient rectifier le tir et, surtout, se placer derrière Hillary Clinton, la seule candidate clairement en faveur de la défense de la démocratie républicaine, libérale et représentative.

     

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  • Axe central: Macron, l’homme qui énerve les gardiens des temples

    Tant à droite qu’à gauche et au centre, Emmanuel Macron a d’abord été accueilli avec bienveillance.

    Puis il a été considéré avec un petit sourire moqueur aux lèvres avant de commencer à agacer.

    Aujourd’hui, le sentiment qui domine l’entière classe politique est plutôt l’inquiétude d’où une montée de l’agressivité qui va souvent de pair à son encontre.

    Car si certains prédisent un flop de son initiative En-marche – c’est-à-dire qu’il le souhaite ardemment! – c’est plutôt à un barrage anti-Macron que l’on assiste ces dernières semaines afin de contrer son ascension dans les sondages et la réalité même de l’espace politique qu’il veut incarner.

    C’est le cas, d’abord, chez les gardiens des temples que sont les partis politiques où le «Macron bashing» est désormais la règle.

     

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  • Trump est un danger pour la démocratie républicaine

    Donald Trump n’est pas encore le président des Etats-Unis et Bernie Sanders a peu de chances (mais il en a) de battre Hillary Clinton.

    Avant de dramatiser à l’extrême la situation, il faut attendre quelque peu.

    Néanmoins, ce qui se passe actuellement lors des primaires démocrates et surtout républicaines ne peut que susciter l’inquiétude de tous les démocrates, dont les centristes, sur le devenir de la démocratie républicaine aux Etats-Unis et, par contrecoup, dans toutes les démocraties républicaines, libérale et représentative du monde.

    Du côté républicain, donc, Donald Trump sera le candidat du parti à l’élection du 8 novembre prochain après sa victoire dans l’Indiana et la défaite cuisante de son principal adversaire, Ted Cruz, qui a décidé de «suspendre» sa campagne, prémices à un abandon pur et simple.

    Aucun démocrate responsable ne pleurera la défaite de Cruz qui était certainement un danger plus grand encore pour la démocratie américaine que Trump.

     

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  • Brexit or not Brexit, that is the question?

    Pour certains, l’Union européenne serait bien mieux sans le Royaume Uni, sorte de ver de la confusion dans le fruit de l’union.

    Pour d’autres, l’Union européenne aurait beaucoup à perdre si le Royaume Uni décidait de s’en aller lors du référendum du 23 juin prochain.

    C’est vrai que le Royaume Uni a presque tué l’Europe telle que les pères de celle-ci la voyaient, cet idéal fédéral pour lequel les centristes se battent depuis les années 1950.

    Avant que ne se produise l’implosion finale, il vaudrait mieux qu’il s’en aille pour l’en préserver.

    Et s’il le fait de lui-même, tant mieux.

     

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  • Présidentielle USA 2016. Clinton-Sanders, les deux Partis démocrates

    Il est faux de dire qu’il n’y a que deux partis politiques aux Etats-Unis.

    Il y en a autant, voire plus, que dans les autres démocraties.

    On trouve des partis communistes (dont le Communist party USA), des partis socialistes (dont le Socialist party USA), des partis centristes (comme le Modern whig party), un parti libertairien (Libertarian party), un parti écologiste (Green party), des partis d’extrême-droite et d’extrême-gauche comme le Socialist workers party ou le parti nazi, National socialist movement.

    Mais il est vrai que le Parti démocrate et le Parti républicain dominent outrageusement la vie politique étasunienne.

     

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  • Présidentielle 2017. Les Français préfèrent un président du Centre à un de gauche ou de droite

    Selon un sondage Elabe pour Europe 1, les Français préfèreraient un président positionné au centre (16%) plutôt qu’à gauche (14%) ou à droite (13%) et surtout que très à droite (8%) ou très à gauche (3%).

    Mais c’est la proposition «ni à gauche, ni au centre, ni à droite» qui vient très largement en tête avec 45% des réponses.

    Une formulation particulièrement ambigüe puisque cette définition reprend négativement l’entier spectre du positionnement politique et que, nécessairement, tout individu, même s’il prétend le contraire, s’y trouve puisqu’il s’agit uniquement d’un moyen de caractériser les opinions politiques de chacun.

     

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  • Présidentielle 2017. Sondages: Bayrou largement battu par Macron, l’axe central en force

    Selon un sondage Elabe pour Les Echos et Radio classique, s’il devait y avoir une candidature d’Emmanuel Macron à la présidentielle de 2017, celui-ci se qualifierait pour le second tour s’il était opposé à Nicolas Sarkozy (25% contre 18%) ou Bruno Le Maire (25,5% contre 18%) comme candidats LR et à François Bayrou (11% dans le premier cas, 11,5% dans le deuxième).

    Le ministre de l’Economie arriverait même en tête des intentions de vote au premier tour, devant Marine Le Pen (25,5% contre 25% avec Le Maire et 25% contre 24% avec Sarkozy).

    En revanche, il serait largement battu par Alain Juppé (21% contre 36%).

    Ce dernier, comme à son habitude, serait en tête dans tous les cas de figure au premier tour (candidat socialiste Hollande, 39% contre 15%, ou Valls, 38% contre 15,5%, ou Macron, 36% contre 21%), largement devant Marine Le Pen (qui obtiendrait entre 23% et 26%).

     

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