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centrisme - Page 3

  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Le monde bascule lentement mais sûrement de l’autre côté du miroir

    Cela fait longtemps maintenant que, comme centriste, mondialiste, européen, démocrate, républicain, pacifiste et humaniste, je vois avec effroi et que je dis sans relâche que le monde va de plus en plus mal, qu’il retourne lentement vers ses démons d’un passé pas si lointain pour ses derniers soubresauts qui semblent être des crises qui se déroulent trop souvent ou, pire, qui sont la «normalité», ce qui serait «extra ordinaire» (avec un espace entre les deux termes) serait la période que nous avons vécu, en Europe de l’Ouest et plus généralement en Occident de la fin de la Deuxième guerre mondiale au début du deuxième millénaire, la démocratie républicaine dans la paix et la prospérité.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Comprendre le «en même temps» macronien et le «juste équilibre» centriste

    Le «en même temps» macronien est un cousin germain du «juste équilibre» centriste.

    Mais, comme pour le juste équilibre, le «en même temps» est souvent mal compris dans son mécanisme.

    Rappelons d’abord, succinctement, la signification politique de ces deux de termes.

    Le juste équilibre est le principe d’action politique du Centrisme du XXI° siècle.

    Il se définit comme une bonne et pertinente répartition harmonieuse, ne s’intéressant pas à un hypothétique lieu géométrique axial, mais vise à équilibrer la société afin d’y établir un consensus maximal au profit de tous les membres de la communauté.

    Il vise à donner le plus de satisfaction possible à tous les citoyens tout en sachant que personne ne peut être contenté complètement.

    Le «en même temps» est le principe d’action politique du macronisme.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Unir et réunir dans un monde tourmenté, le défi prométhéen du Centrisme

    Unir (dans son pays), réunir (au niveau international) a toujours été une préoccupation des centristes, un objectif du Centrisme et un challenge pour le Centre face à une société depuis toujours en conflit avec elle-même et un monde où la loi du plus fort fait le plus souvent office de droit international.

    C’est encore plus vrai dans ce début de XXI° siècle troublé où, après avoir enfin puis vainement espéré que les valeurs humanistes imprègnent l’Humanité toute entière, c’est le retour à l’égoïsme et l’irresponsabilité chez les individus ainsi qu’à la force des muscles et la pensée primaire unique chez les nations, le tout dans un populisme dévastateur qui menace de tout emporter comme aux plus sombres heures de l’Histoire humaine, en particulier ce XX° siècle où la violence et la mort ont rôdé constamment et que nous croyions avoir quitté à jamais pour ce qui est de sa propension à détruire et à s’autodétruire.

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  • MoDem-UDI, la compétition entre centristes «de l’intérieur» et ceux «de l’extérieur»

    Et si, in fine, Emmanuel Macron et LREM avait plus besoin des centristes «de l’extérieur», notamment ceux de l’UDI, que ceux «de l’intérieur», c’est-à-dire du MoDem.

    Cette hypothèse, portée implicitement par Jean-Christophe Lagarde, le patron de l’UDI, n’est pas aussi incongrue qu’elle puisse paraître au premier abord.

    Car, paradoxalement, la relation semble plus claire entre LREM et l’UDI qu’entre le MoDem et LREM et même entre l’UDI et le MoDem.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. L’évidente impopularité de la réforme macronienne

    Les sondages valent ce qu’ils valent et certains sont si mal réalisés qu’ils ne valent pas grand-chose.

    Ayant dit cela, il semble que, globalement, au bout d’un an de pouvoir, Emmanuel Macron possède cote de popularité tout à fait acceptable mais que son action et que nombre de ses réformes, en particulier en matière économique et sociale, soient majoritairement critiquées.

    Voilà qui est plus que normal!

    D’abord, parce que tout action réformatrice est toujours mal vue et décriée par les citoyens et ce,  même s’ils ont voté pour qu’elle soit mise en place.

    Car elle bouleverse souvent réellement ou fantasmagoriquement le quotidien et les habitudes de tout un chacun, cette perturbation, quelle que soit les résultats concrets de la réforme, étant toujours vue négativement.

    Ensuite, parce qu’une action réformatrice prend du temps et que celle entreprise par Emmanuel Macron est de longue haleine.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Un an de France centriste

    Le 7 mai 2017, il y a tout juste un an, Emmanuel Macron devenait le vingt-cinquième président de la république française, le huitième de la V° République et le plus jeune à être jamais élu, à 39 ans.

    Surtout, il devenait le premier président centriste de la V° République (on ne peut pas baptiser de centriste la politique suivie par Valéry Giscard d’Estaing lors de sa présidence de 1974 à 1981 même s’il a gouverné avec les centristes qui ont été ses principaux soutiens et qu’il a souvent voulu être au centre sans être du Centre).

    Ce n’est pas moi qui le dit mais bien les sondages où les sympathisants centristes affirment à un pourcentage écrasant qu’Emmanuel Macron est bien un des leurs.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Non, madame Le Pen, votre «ni, ni» n’a rien à voir avec celui de monsieur Macron

    Madame Le Pen est tenace dans ses mensonges et ses contre-vérités.

    A nouveau, sur les ondes de France Inter, elle a présenté le projet du Front national comme un «ni gauche, ni droite», expliquant qu’elle était d’accord avec Emmanuel Macron sur la disparition de l’ancien clivage politique gauche-droite ( ce que contredit un sondage publié cette semaine…) et que le nouveau oppose les «nationalistes» aux «mondialistes».

    Mais le «ni, ni» de madame Le Pen n’est ni consensuel, ni rassembleur, ni démocratique, c’est-à-dire qu’il n’a strcitement rien à voir avec celui d’Emmanuel Macron.

    Pire, il est totalement mensonger.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Réforme progressiste versus archaïsme clientèliste

    Les centristes sont des réformistes progressistes, c’est ce qui les distingue souvent de la Droite et de la Gauche dont le clientélisme conservateur et même parfois réactionnaire et rétrograde les condamne souvent à l’inaction, voire à laisser pourrir les situations comme on peut s’en rendre compte sur nombre de questions qui, à force, de ne pas être traitées, sont devenus des problèmes quasi-insolubles et ont été une des raisons de l’élection d’Emmanuel Macron.

    Mais attention, être réformiste ne veut pas dire tout réformer et n’importe comment.

     

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Nous ne sommes pas trop informés mais trop désinformés!

    La démocratie républicaine nécessite des citoyens possédant du savoir et correctement informés.

    Ce n’est pas nouveau.

    Tous les promoteurs d’un tel régime de liberté ont toujours insisté, à la fois, sur la responsabilité de l’individu et sa capacité à faire des choix.

    Et ce qui ferait de lui cette personne responsable et éclairé serait avant tout qu’il soit instruit et informé, d’où la place éminente que l’école a toujours eu dans une démocratie républicaine et que les centristes, depuis Jules Ferry jusqu’à François Bayrou, ont toujours mis en avant de leurs préoccupations.

    D’où le rôle éminemment important de tout le système de transmission du savoir, c’est-à-dire l’école et la presse ou, pour faire un clin d’œil à la III° République, l’instituteur et le journaliste.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Eloge des majorités d’idées

    Nous avons assez critiqué ici l’opportunisme dont beaucoup de personnalités politiques au centre ont en fait leur seule ligne directrice au cours de l’histoire politique.

    De même, nous avons souvent éreinté le comportement de l’UDI et de son président Jean-Christophe Lagarde qui veulent nous faire croire que l’on peut être à la fois dedans et dehors de la majorité présidentielle.

    Alors, ici, je veux positiver ce que l’on appelle des «majorités d’idées» et que le centriste Barack Obama a appelé de ses vœux au début de son premier mandat et a appelé l’«ère post-partisane» pour laquelle j’ai émis nombre de doutes à l’instar de politistes américains sur son émergence dans un espace politique aussi polarisé que celui des Etats-Unis d‘alors.

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