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centrisme - Page 10

  • Présidentielle USA 2016. Clinton-Sanders, les deux Partis démocrates

    Il est faux de dire qu’il n’y a que deux partis politiques aux Etats-Unis.

    Il y en a autant, voire plus, que dans les autres démocraties.

    On trouve des partis communistes (dont le Communist party USA), des partis socialistes (dont le Socialist party USA), des partis centristes (comme le Modern whig party), un parti libertairien (Libertarian party), un parti écologiste (Green party), des partis d’extrême-droite et d’extrême-gauche comme le Socialist workers party ou le parti nazi, National socialist movement.

    Mais il est vrai que le Parti démocrate et le Parti républicain dominent outrageusement la vie politique étasunienne.

     

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  • Présidentielle 2017. Les Français préfèrent un président du Centre à un de gauche ou de droite

    Selon un sondage Elabe pour Europe 1, les Français préfèreraient un président positionné au centre (16%) plutôt qu’à gauche (14%) ou à droite (13%) et surtout que très à droite (8%) ou très à gauche (3%).

    Mais c’est la proposition «ni à gauche, ni au centre, ni à droite» qui vient très largement en tête avec 45% des réponses.

    Une formulation particulièrement ambigüe puisque cette définition reprend négativement l’entier spectre du positionnement politique et que, nécessairement, tout individu, même s’il prétend le contraire, s’y trouve puisqu’il s’agit uniquement d’un moyen de caractériser les opinions politiques de chacun.

     

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  • Présidentielle 2017. Sondages: Bayrou largement battu par Macron, l’axe central en force

    Selon un sondage Elabe pour Les Echos et Radio classique, s’il devait y avoir une candidature d’Emmanuel Macron à la présidentielle de 2017, celui-ci se qualifierait pour le second tour s’il était opposé à Nicolas Sarkozy (25% contre 18%) ou Bruno Le Maire (25,5% contre 18%) comme candidats LR et à François Bayrou (11% dans le premier cas, 11,5% dans le deuxième).

    Le ministre de l’Economie arriverait même en tête des intentions de vote au premier tour, devant Marine Le Pen (25,5% contre 25% avec Le Maire et 25% contre 24% avec Sarkozy).

    En revanche, il serait largement battu par Alain Juppé (21% contre 36%).

    Ce dernier, comme à son habitude, serait en tête dans tous les cas de figure au premier tour (candidat socialiste Hollande, 39% contre 15%, ou Valls, 38% contre 15,5%, ou Macron, 36% contre 21%), largement devant Marine Le Pen (qui obtiendrait entre 23% et 26%).

     

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  • Présidentielle 2017. Les «déçus» de Hollande vers Mélenchon, pas Bayrou

    Deux sondages viennent d’être publiés montrant, à la fois, la chute des intentions de vote en faveur de François Hollande, une stabilité, voire une baisse, de celles en faveur de François Bayrou et une hausse de celles de Jean-Luc Mélenchon, le tout dans un second tour où s’affronteraient le candidat LR quel qu’il soit (Juppé, Sarkozy, Fillon, Le Maire) et Marine Le Pen.

    Ainsi, dans un sondage BVA pour la presse régionale, au premier tour, dans le cas de figure où s’affrontent Sarkozy, Hollande, Bayrou et Mélenchon, le premier obtient 22% des voix, le deuxième, 14%, le troisième et le quatrième, 12%.

     

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  • Présidentielle USA 2016. Clinton-Trump, la bataille des deux New York

    Comme le titre le New York Times, «Donald Trump et Hillary Clinton ont gagné facilement à New York», ce qui devrait les mener sans problème vers l’élection présidentielle.

    Les deux gros succès de Clinton (près de 58% des voix et plus de 63% pour la ville de New York) et de Trump (aux alentours de 60% des voix) aux primaires de cet Etat du Nord-est font d’eux, en effet, les grandissimes favoris pour représenter, l’une le Parti démocrate, l’autre le Parti républicain le 8 novembre prochain.

    Même s’ils étaient déjà largement en tête de la course dans leurs partis respectifs, les deux Newyorkais (Trump est né dans la ville et Clinton en a été la sénatrice) ont vu leurs positions confortées, non seulement arithmétiquement mais politiquement.

     

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  • Axe central, danger mortel pour les partis centristes?

    Alors qu’ils devraient se féliciter de l’émergence d’un axe central où les réformistes de droite et les libéraux de gauche les rejoignent sur leurs positions, on constate que les partis centristes ressentent plutôt une grande peur que ces nouveaux venus ne les phagocytent avant de les avaler et de les faire disparaître dans une grande mouvance «centrale».

    Car, oui, l’axe central devient de jour en jour une réalité même si elle ne l’est pour l’instant qu’au niveau d’une ligne politique et non de celui d’un regroupement dans une coalition ou dans un parti prêts à se présenter aux élections puis à gouverner ensemble.

    Mais cette réalité profite surtout aux réformistes de droite avec Alain Juppé et aux libéraux et réformistes de gauche avec Emmanuel Macron et Manuel Valls.

     

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  • Présidentielle 2017. Pour 65% des Français, Bayrou serait un mauvais président

    Selon un sondage Odoxa pour BFMTV et Le Parisien, 65% des Français estiment que François Bayrou serait un mauvais président de la république comme 35% qui pensent qu’il serait un bon chef de l’Etat.

    A noter qu’il obtient de bien meilleurs scores auprès de l’électorat de gauche (44% le voient en bon président) qu’auprès des sympathisants de droite (73% le voient en mauvais président contre seulement 27% en bon président).

    Cela le place en troisième position derrière Alain Juppé et Emmanuel Macron qui sont les deux seuls personnalités politiques à obtenir une balance positive, 58% des Français pour Juppé et 52% pour Macron qui estiment qu’ils seraient de bons présidents.

     

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  • Présidentielle USA 2016. Primaire démocrate: Bataille entre le Centre et la Gauche

    Le débat qui s’est tenu l'autre soir à Brooklyn entre Hillary Clinton et Bernie Sanders, en prélude à la primaire de l’Etat de New York a permis, avec une clarté sans équivoque, de mettre à jour, si ce n’était déjà fait, les différences essentielles entre les deux lignes politiques qui s’affrontent chez les démocrates.

    Celle de Clinton, centriste et pragmatiste, qui se focalise sur ce qui est possible de faire et celle de Sanders, idéologiquement socialiste et teintée fortement de populisme, qui promet beaucoup et qui parle de «révolution politique» mais que son héraut est souvent incapable d’expliquer comment il la mettra en œuvre concrètement.

    Jusqu’à présent, cette dernière ligne aurait pu de chance de l’emporter, voire même de rallier à elle nombre d’électeurs, lors d’une primaire démocrate, d’autant que Sanders n’est même pas membre du parti.

     

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  • Présidentielle 2017. Pour Lassalle, Bayrou «attend» la défaite de Juppé à la primaire LR

    Depuis leur rupture, ça balance beaucoup entre Jean Lassalle, député des Pyrénées-Atlantiques et ex-membre du MoDem, et son ex-ami, François Bayrou.

    Ainsi, le président du MoDem et ses proches critiquent durement le choix de Lassalle de se présenter à la présidentielle alors que ce dernier estime que Bayrou s’est renié lui-même en n’annonçant pas, d’ores et déjà, sa candidature pour 2017 et qu’il a fait allégeance à Juppé, l’homme qui a créé l’UMP pour détruire les centristes.

    Mais, dans le flot des déclarations, en voilà une qui va sans doute faire du bruit.

     

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  • Axe central: ni racolage, ni unanimisme, ni auberge espagnole

    L’axe central est une potentialité qui n’est pas encore une réalité politique.

    Il résulte d’une constatation, à la fois, auprès des Français et auprès des courants politiques.

    Celle-ci montre une convergence de vues et d’opinions entre des deux courants situés à gauche, la social-libéralisme et le social-réformisme, un courant situé à droite, le gaullo-réformisme ou la «centralité» (du nom que lui donnent Alain Juppé et ses amis) et le courant centriste qui est un libéralisme social.

    Cet axe est central parce qu’il fait face à deux radicalismes à chacun de ses bords, celui de droite avec l’extrême-droite, la droite conservatrice, la droite radicale et la droite populiste, et celui de gauche, avec l’extrême-gauche, la gauche radicale et la gauche populiste.

     

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