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centriste - Page 10

  • Présidentielle 2017. Pour 65% des Français, Bayrou serait un mauvais président

    Selon un sondage Odoxa pour BFMTV et Le Parisien, 65% des Français estiment que François Bayrou serait un mauvais président de la république comme 35% qui pensent qu’il serait un bon chef de l’Etat.

    A noter qu’il obtient de bien meilleurs scores auprès de l’électorat de gauche (44% le voient en bon président) qu’auprès des sympathisants de droite (73% le voient en mauvais président contre seulement 27% en bon président).

    Cela le place en troisième position derrière Alain Juppé et Emmanuel Macron qui sont les deux seuls personnalités politiques à obtenir une balance positive, 58% des Français pour Juppé et 52% pour Macron qui estiment qu’ils seraient de bons présidents.

     

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  • Présidentielle USA 2016. Primaire démocrate: Bataille entre le Centre et la Gauche

    Le débat qui s’est tenu l'autre soir à Brooklyn entre Hillary Clinton et Bernie Sanders, en prélude à la primaire de l’Etat de New York a permis, avec une clarté sans équivoque, de mettre à jour, si ce n’était déjà fait, les différences essentielles entre les deux lignes politiques qui s’affrontent chez les démocrates.

    Celle de Clinton, centriste et pragmatiste, qui se focalise sur ce qui est possible de faire et celle de Sanders, idéologiquement socialiste et teintée fortement de populisme, qui promet beaucoup et qui parle de «révolution politique» mais que son héraut est souvent incapable d’expliquer comment il la mettra en œuvre concrètement.

    Jusqu’à présent, cette dernière ligne aurait pu de chance de l’emporter, voire même de rallier à elle nombre d’électeurs, lors d’une primaire démocrate, d’autant que Sanders n’est même pas membre du parti.

     

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  • Présidentielle 2017. Pour Lassalle, Bayrou «attend» la défaite de Juppé à la primaire LR

    Depuis leur rupture, ça balance beaucoup entre Jean Lassalle, député des Pyrénées-Atlantiques et ex-membre du MoDem, et son ex-ami, François Bayrou.

    Ainsi, le président du MoDem et ses proches critiquent durement le choix de Lassalle de se présenter à la présidentielle alors que ce dernier estime que Bayrou s’est renié lui-même en n’annonçant pas, d’ores et déjà, sa candidature pour 2017 et qu’il a fait allégeance à Juppé, l’homme qui a créé l’UMP pour détruire les centristes.

    Mais, dans le flot des déclarations, en voilà une qui va sans doute faire du bruit.

     

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  • Axe central: ni racolage, ni unanimisme, ni auberge espagnole

    L’axe central est une potentialité qui n’est pas encore une réalité politique.

    Il résulte d’une constatation, à la fois, auprès des Français et auprès des courants politiques.

    Celle-ci montre une convergence de vues et d’opinions entre des deux courants situés à gauche, la social-libéralisme et le social-réformisme, un courant situé à droite, le gaullo-réformisme ou la «centralité» (du nom que lui donnent Alain Juppé et ses amis) et le courant centriste qui est un libéralisme social.

    Cet axe est central parce qu’il fait face à deux radicalismes à chacun de ses bords, celui de droite avec l’extrême-droite, la droite conservatrice, la droite radicale et la droite populiste, et celui de gauche, avec l’extrême-gauche, la gauche radicale et la gauche populiste.

     

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  • Le «ni-droite-ni-gauche» Macron inquiète le «central» Juppé

    La réaction agressive d’Alain Juppé à la création du mouvement En-marche d’Emmanuel Macron montre que les deux hommes labourent le même terrain politique, ce fameux axe central allant des gaullo-réformistes de droite aux sociaux-libéraux de gauche en passant par les libéraux-sociaux du Centre.

    Ainsi, l’ancien premier ministre de Jacques Chirac et favori des sondages pour succéder à François Hollande à l’Elysée en 2017 a déclaré:

    «Un de nos principaux ministres, celui qui est chargé de l'Economie, qui a un très bon bilan à son actif depuis qu'il est ministre (...), eh bien ce ministre, au lieu de s'intéresser à son métier de ministre (...), il vient de créer un nouveau parti, pour préparer sa future trajectoire politique. (…) Vous pensez que c'est à ça qu'un ministre doit consacrer son temps aujourd'hui? Créer un nouveau parti plutôt que de faire son boulot de ministre?».

    Pourquoi de tels propos?

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  • Macron nous refait le coup de l’«ailleurs»!

    Lors du lancement officiel de son mouvement «En marche» le 6 avril à Amiens, Emmanuel Macron a affirmé qu’il n’était pas de droite, ni de gauche.

    Sans rire, il a déclaré, «J'ai pris du temps, j'ai réfléchi, j'ai consulté, j'ai associé et j'ai décidé qu'on allait créer un mouvement politique nouveau, c'est-à-dire qui ne sera pas à droite, pas à gauche».

    Comme il n’a pas parlé du Centre, on peut supposer qu’il ne s’en réclame pas et qu’il ne se définit pas non plus comme «central» (sic) à l’instar d’Alain Juppé qui tente comme Macron de brouiller les cartes sur son réel positionnement politique.

    Le voilà donc qui nous refait le fameux coup de l’«ailleurs» que tant de politiques nous ont fait par le passé, comme feu Michel Jobert et François Bayrou, le plus récemment.

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  • Le courage politique, les centristes et la présidentielle

    Le courage n’est pas toujours de partir la fleur au fusil pour se faire massacrer en rase campagne, ni de prendre des risques inconsidérés qui aboutiront à l’inévitable, une défaite cuisante pour la cause que l’on défend.

    Mais cela peut être, également, la décision de mettre sa cause au service d’une cause supérieure lorsque cela s’avère indispensable.

    En politique, le courage est une des vertus principales avec l’honnêteté et la responsabilité.

    Montrer du courage pour un homme ou une femme politique, c’est évidemment défendre ses choix, ses valeurs et ses principes contre vents et marées, ceux qu’on estime bons, non pour soi, son ambition et/ou uniquement les intérêts de la clientèle électorale que l’on défend, mais pour son pays, voire pour l’humanité.

    C’est sans doute pourquoi le courage est souvent si peu présent, tout comme l’est l’honnêteté (dans les propos tenus voire dans les actes) et la responsabilité.

     

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  • Présidentielle 2017. Lagarde annonce que les militants UDI pourraient revoter en septembre

    Dans une interview à LCP, Jean-Christophe Lagarde a indiqué que les militants de l’UDI pourraient être à nouveau consultés à propos de la primaire de la Droite à l’automne si un accord est signé entre sa formation et celle de LR pour la présidentielle.

    Tout cela pour valider une participation à cette primaire alors même que Jean-Christophe Lagarde vient de faire voter à ces mêmes militants, une absence à cette consultation qui va permettre de choisir le candidat LR à la présidentielle.

    C’est en réponse à une question sur la participation de candidats issus de l’UDI à la primaire que Jean-Christophe Lagarde a annoncé ce nouveau vote:

     

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  • Présidentielle 2017. Sarkozy: plus grande aversion des centristes du MoDem que ceux de l’UDI

    Une chose est sûre: l’électeur centriste ne veut vraiment pas d’un retour de l’ancien président de la république en 2017 comme le confirme une nouvelle fois un sondage IFOP pour le think tank de droite, la fondation Concorde, sur «Le regard des Français pour Nicolas Sarkozy».

    Un sondage déjà réalisé sur Alain Juppé et François Fillon et qui le sera bientôt sur Bruno Le Maire, les quatre principaux candidats à la primaire de LR en novembre prochain (même si Sarkozy ne s’est pas encore officiellement déclaré.

    Ce qui est également très intéressant dans ce sondage, c’est que cet électeur centriste qu’il soit du MoDem ou de l’UDI n’a pas la même dureté envers le président de Les républicains.

    Ainsi, pratiquement à toutes les questions, il y a deux fois plus de sondés sympathisants, voire beaucoup plus, de l’UDI qui donnent une réponse positive sur l’ancien chef de l’Etat que de sondés sympathisants du MoDem.

     

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  • Présidentielle USA 2016. Le populiste Sanders menace encore la victoire de la centriste Clinton

    Les récentes victoires du socialiste populiste Sanders dans plusieurs Etats (petits et moyens), de l’Utah à l’Alaska en passant par l’Idaho, Washington et Hawaï, démontrent que la route pour la nomination de la centriste Hillary Clinton comme candidate du Parti démocrate n’est pas encore totalement sécurisée.

    Bien entendu, il faudrait pour que Sanders l’emporte, un retournement de situation encore improbable aujourd’hui avec des victoires nettes dans des grands Etats qui ne lui sont pas favorables a priori (New York, Californie, Pennsylvanie, Maryland, etc.) ainsi que le changement du soutien de la plupart des «grand délégués» du parti dont l’énorme majorité a pris position en faveur de Clinton et que Sanders n’a pas cessé de stigmatiser jusqu’à maintenant où il tente de les séduire...

    Mais dans une année électorale où les deux partis sont traversés en même temps – et c’est une première – par une forte vague populiste, tout peut encore survenir.

     

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