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france - Page 4

  • Le social réformiste Valls débordé par le social-libéral Macron?

    Et si Emmanuel Macron bénéficiait de tout le travail de Manuel Valls et que cette perspective soit celle qui énerve de manière assez compréhensible le premier ministre.

    Au niveau médiatique, la question n’est même plus à poser quand on voit le visage de Macron à la Une de tous les hebdomadaires et des quotidiens et le buzz sur sa personne de la télé à internet.

    Au niveau politique, les choses sont moins linéaires (et superficielles?), le ministre de l’Economie rencontrant, et c’est normal, de nombreuses résistances, tant à droite qu’à gauche, son positionnement social-libéral allié à sa popularité en faisant une cible de choix des deux côtés comme le montre les articles récurrents très critiques, par exemple, que lui consacrent Le Monde et Le Figaro.

     

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  • Présidentielle 2017. UDI: pas de vote des militants sur une candidature indépendante

    Dans une interview au quotidien l’Opinion, Jean-Christophe Lagarde a réitéré son appel aux militants de l’UDI de voter contre la participation du parti centriste à la primaire de Les républicains.

    Il estime que la formation dont il est président doit préparer de son côté son programme politique en vue de la présidentielle ainsi que ses investitures pour les législatives qui suivront.

    De même, il a expliqué ne pas vouloir que l’UDI dépende du programme d’un candidat LR à la présidentielle.

     

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  • Présidentielle 2017. Juppé a besoin maintenant de l’UDI pas Sarkozy

    Le courrier d’Alain Juppé à Jean-Christophe Lagarde et le silence de Nicolas Sarkozy après que le président de l’UDI se soit plaint de l’attitude de LR envers son parti est emblématique de la course à la présidentielle au sein de la Droite et des enjeux de la primaire.

    De prime abord, on pouvait être étonné que Nicolas Sarkozy qui prône depuis longtemps une primaire commune de la Droite et du Centre ne réponde pas à la lettre qui lu a envoyé au début de l’année Jean-Christophe Lagarde en vue de négocier la participation de l’UDI à la désignation d’un candidat commun pour 2017.

     

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  • Présidentielle 2017. Lagarde ne veut pas que l’UDI participe à la primaire de LR mais le peut-il?!

     

    Le clash entre l’UDI et LR a-t-il réellement éclaté?

    En tout cas, le président de l’UDI, Jean-Christophe Lagarde, vient de déclarer dans une interview à Paris Match que sa formation ne participera pas à la primaire de LR.

    Il faut dire qu’il a été humilié par le parti de droite et son président, Nicolas Sarkozy.

    Alors qu’il avait toujours affirmé qu’il voulait que l’UDI ait un candidat indépendant à la présidentielle, il avait procédé à un rétropédalage progressif ces dernières semaines, tout d’abord en refusant de dire s’il était ou non contre cette candidature indépendante puis en faisant de multiples appels du pied à LR pour ouvrir des négociations afin d’échanger participation à la primaire contre circonscriptions pour les législatives et postes dans un futur gouvernement.

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  • Présidentielle 2017. Laurent Hénart, président du Parti radical, dernier défenseur d’une UDI réellement indépendante

    Il l’a toujours dit, il veut un candidat UDI à la présidentielle.

    Et si Laurent Hénart, président du Parti radical, principale composante de la confédération centriste avec le Nouveau centre, sait que cela sera difficile d’imposer ce choix, il ne veut pas, en tout cas, d’une participation à la primaire de LR.

    En tout cas, il veut d’abord que l’UDI se prépare pour la présidentielle en bâtissant un projet puis en explorant toutes les possibilités avant de se décider ou non à rejoindre LR dès le premier tour.

    Se rangeant derrière Jean-Louis Borloo qui avait justement quitté l’UMP, ex-LR, afin de pouvoir réunir le centre et le centre-droit pour leur permettre d’exister de manière indépendante, donc de présenter un candidat à la présidentielle, il ne veut pas que l’UDI devienne un simple appendice de la Droite comme le fut le Nouveau centre de 2007 à 2012 ou même le Parti radical lui-même composante de l’UMP pendant cette période.

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  • L’autre ennemi du Centre: le populisme

    Les centristes sont en pointe dans la lutte contre l’extrême-droite et l’extrême-gauche de par leurs valeurs humanistes et leur vision d’un monde qui en découle.

    C’est un de leurs combats et il faut s’en féliciter quand on voit la Droite et la Gauche céder à périodes répétées aux sirènes de l’extrémisme et de la radicalité pour de sordides raisons clientélistes et électorales.

    Mais le Centre a un autre ennemi qui peut être tout aussi redoutable, le populisme, qu’il soit de gauche ou de droite.

    Celui-ci emprunte souvent des postures, des discours et des positionnements aux extrêmes.

    Il suffit de se rappeler le parcours d’un Jean-Marie Le Pen, avant tout populiste démagogue quand il est député poujadiste dans les années 1950 et qui n’a aucun mal à se muer en leader d’extrême-droite par la suite.

     

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  • La mystification dangereuse des «partis politiques de la société civile»

    Vive la société civile, paré de toutes les vertus.

    A bas le monde politique accablé de tous les vices.

    On connait cette vieille rengaine et la floraison d’associations plus ou moins bidons, nées souvent de l’ambition quelque peu mégalomaniaque de chefs d’entreprise qui ont réussi dans leur domaine ou d’intellectuels médiatiques en mal de destin national, qui tous prétendent vouloir que le civil se réveille et s’empare du politique à la place du… politique devenant ainsi du… politique, parce qu’il ne peut en être autrement.

    Ce qui fait de la politique – organisation ou individu – est obligatoirement du politique, même «différemment»!

     

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  • Présidentielle 2017. La primaire de LR devient «de la Droite et du Centre» grâce à Arthuis

    L’Alliance centriste est une composante de l’UDI.

    Micro-parti, elle n’en a pas moins quinze parlementaires, essentiellement des sénateurs et est présidée par Jean Arthuis ancien ministre de Jacques Chirac, sous l’autorité du Premier ministre d’alors, Alain Juppé et ancien sénateur.

    L’Alliance centriste a tenu son congrès le samedi 27 février et a décidé de ne pas soutenir une candidature indépendante de l’UDI à la présidentielle et de présenter un candidat à la primaire de LR en publiant ce communiqué:

    «L’Alliance centriste, à la veille des échéances électorales de 2017, entend porter (son) projet à la primaire ‘de la Droite et du Centre’ par le biais d’une candidature». (lire le communiqué intégrale ici)

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  • L’Europe, oui, mais pas à n’importe quel prix

    Les centristes sont européens et l’Union européenne est une idée centriste.

    Réunir les hommes et les femmes du Vieux continent pour qu’ils construisent le présent et l’avenir ensemble dans la paix et le partage au lieu de s’entretuer et de se détruire mutuellement demeure leur idéal mais aussi une nécessité pour que les Européens demeurent libres et puissent bénéficier tous du progrès face aux défis de toute sorte auxquels ils doivent et devront faire face.

    Que les peuples européens comprennent de moins en moins ce qu’ils ont a gagné à vivre ensemble et à se rassembler est une bien triste constatation.

    Qu’ils aient oublié les leçons de l’Histoire, qu’ils tournent le dos à la réalité du monde, qu’ils pensent être plus forts chacun de leur côté, en écoutant les populistes démagogiques de tous bords leur vanter le divorce, ils paieront le prix fort de leur erreur si celui-ci survient.

    Pour autant, si le mot union a un sens, ce ne peut être à n’importe quel prix.

     

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  • Présidentielle 2017. Sondage: Bayrou en hausse profite de la baisse de Hollande

    A plus d’un an de la présidentielle, un sondage ne dit pas grand-chose sur l’élection elle-même mais beaucoup plus sur l’état actuel de l’opinion.

    Car si ceux-ci avaient donné le résultat par le passé alors Edouard Balladur, Lionel Jospin, Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy (à la place de Hollande) auraient été élus...

    Toujours est-il que le dernier sondage IFOP pour iTélé, Paris Match et Sud radio montre une baisse très sensible des intentions de vote en faveur de François Hollande et celui qui en profite se nomme François Bayrou.

     

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