Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

politique - Page 6

  • L’Humeur du Centriste. Trump est un malade mental ou, s’il le fait exprès, c’est encore pire!

    Faisons le bilan de la politique étrangère américaine (la politique intérieure est du même acabit…).

    Les Etats-Unis ont seulement deux voisins avec lesquels ils partagent des frontières: le Mexique et le Canada dont le dernier est un de ses plus grands alliés.

    Donald Trump a réussi à se fâcher avec les deux en insultant les deux nations et leurs dirigeants.

    Les alliés historiques des Etats-Unis sont la France, le Royaume Uni et, plus récemment, l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne et tous les pays qui sont dans l’Union européenne.

    Donald Trump a réussi à se fâcher avec tous ces pays à l’exception de la Pologne et de la Hongrie qui ont deux gouvernements extrémistes de droite, populistes et démagogues.

    Les ennemis contemporains des Etats-Unis sont la Russie, la Corée du Nord, la Chine et l’Iran.

    Lire la suite

  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Pour un service public médiatique

    On parle de service public de l’audiovisuel.

    Mais, au moment où celui-ci va connaître sa énième réforme, n’aurait-on pas du aller plus loin et définir plus largement ce que devrait être un service public médiatique de l’information, de la culture et du divertissement ainsi que ses missions prioritaires.

    Et celui-ci ne devrait-il pas être intégré, sous une même autorité ministérielle dans un grand service public de la transmission du savoir (c’est-à-dire ce que sont actuellement les départements ministériels de l’Education et de la Culture) et de l’information citoyenne?

    Explications.

    Lire la suite

  • Bayrou, premier ministre voire président, est-ce encore possible?

    Rien n’est acté avant que le rideau ne soit définitivement tombé.

    Surtout au théâtre et… en politique souvent comparée à celui-ci.

    Alors que de Gaulle pensait avoir laissé passer son tour, il est revenu en 1958 pour gouverner la France jusqu’en 1969.

    Bayrou, qui admire le général, tout au moins son parcours, peut-il faire un comeback aussi tonitruant, lui qui a laissé échapper une chance historique en 2017 de devenir président puis que Macron – qui lui a piqué cette chance – ne l’a pas nommé premier ministre.

    Les conditions ne sont sans doute pas encore réunies pour Matignon mais pourrait l’être.

    Quant à l’Elysée, cela semble plus compromis mais pas définitivement chimérique.

    Lire la suite

  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Le monde bascule lentement mais sûrement de l’autre côté du miroir

    Cela fait longtemps maintenant que, comme centriste, mondialiste, européen, démocrate, républicain, pacifiste et humaniste, je vois avec effroi et que je dis sans relâche que le monde va de plus en plus mal, qu’il retourne lentement vers ses démons d’un passé pas si lointain pour ses derniers soubresauts qui semblent être des crises qui se déroulent trop souvent ou, pire, qui sont la «normalité», ce qui serait «extra ordinaire» (avec un espace entre les deux termes) serait la période que nous avons vécu, en Europe de l’Ouest et plus généralement en Occident de la fin de la Deuxième guerre mondiale au début du deuxième millénaire, la démocratie républicaine dans la paix et la prospérité.

    Lire la suite

  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Comprendre le «en même temps» macronien et le «juste équilibre» centriste

    Le «en même temps» macronien est un cousin germain du «juste équilibre» centriste.

    Mais, comme pour le juste équilibre, le «en même temps» est souvent mal compris dans son mécanisme.

    Rappelons d’abord, succinctement, la signification politique de ces deux de termes.

    Le juste équilibre est le principe d’action politique du Centrisme du XXI° siècle.

    Il se définit comme une bonne et pertinente répartition harmonieuse, ne s’intéressant pas à un hypothétique lieu géométrique axial, mais vise à équilibrer la société afin d’y établir un consensus maximal au profit de tous les membres de la communauté.

    Il vise à donner le plus de satisfaction possible à tous les citoyens tout en sachant que personne ne peut être contenté complètement.

    Le «en même temps» est le principe d’action politique du macronisme.

    Lire la suite

  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Unir et réunir dans un monde tourmenté, le défi prométhéen du Centrisme

    Unir (dans son pays), réunir (au niveau international) a toujours été une préoccupation des centristes, un objectif du Centrisme et un challenge pour le Centre face à une société depuis toujours en conflit avec elle-même et un monde où la loi du plus fort fait le plus souvent office de droit international.

    C’est encore plus vrai dans ce début de XXI° siècle troublé où, après avoir enfin puis vainement espéré que les valeurs humanistes imprègnent l’Humanité toute entière, c’est le retour à l’égoïsme et l’irresponsabilité chez les individus ainsi qu’à la force des muscles et la pensée primaire unique chez les nations, le tout dans un populisme dévastateur qui menace de tout emporter comme aux plus sombres heures de l’Histoire humaine, en particulier ce XX° siècle où la violence et la mort ont rôdé constamment et que nous croyions avoir quitté à jamais pour ce qui est de sa propension à détruire et à s’autodétruire.

    Lire la suite

  • MoDem-UDI, la compétition entre centristes «de l’intérieur» et ceux «de l’extérieur»

    Et si, in fine, Emmanuel Macron et LREM avait plus besoin des centristes «de l’extérieur», notamment ceux de l’UDI, que ceux «de l’intérieur», c’est-à-dire du MoDem.

    Cette hypothèse, portée implicitement par Jean-Christophe Lagarde, le patron de l’UDI, n’est pas aussi incongrue qu’elle puisse paraître au premier abord.

    Car, paradoxalement, la relation semble plus claire entre LREM et l’UDI qu’entre le MoDem et LREM et même entre l’UDI et le MoDem.

    Lire la suite

  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. L’évidente impopularité de la réforme macronienne

    Les sondages valent ce qu’ils valent et certains sont si mal réalisés qu’ils ne valent pas grand-chose.

    Ayant dit cela, il semble que, globalement, au bout d’un an de pouvoir, Emmanuel Macron possède cote de popularité tout à fait acceptable mais que son action et que nombre de ses réformes, en particulier en matière économique et sociale, soient majoritairement critiquées.

    Voilà qui est plus que normal!

    D’abord, parce que tout action réformatrice est toujours mal vue et décriée par les citoyens et ce,  même s’ils ont voté pour qu’elle soit mise en place.

    Car elle bouleverse souvent réellement ou fantasmagoriquement le quotidien et les habitudes de tout un chacun, cette perturbation, quelle que soit les résultats concrets de la réforme, étant toujours vue négativement.

    Ensuite, parce qu’une action réformatrice prend du temps et que celle entreprise par Emmanuel Macron est de longue haleine.

    Lire la suite

  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Un an de France centriste

    Le 7 mai 2017, il y a tout juste un an, Emmanuel Macron devenait le vingt-cinquième président de la république française, le huitième de la V° République et le plus jeune à être jamais élu, à 39 ans.

    Surtout, il devenait le premier président centriste de la V° République (on ne peut pas baptiser de centriste la politique suivie par Valéry Giscard d’Estaing lors de sa présidence de 1974 à 1981 même s’il a gouverné avec les centristes qui ont été ses principaux soutiens et qu’il a souvent voulu être au centre sans être du Centre).

    Ce n’est pas moi qui le dit mais bien les sondages où les sympathisants centristes affirment à un pourcentage écrasant qu’Emmanuel Macron est bien un des leurs.

    Lire la suite

  • Que peut gagner Macron à être «ami» avec Trump?

    Donald Trump a trois têtes de turc: l’ancien président Barack Obama (il ne peut supporter qu’un noir ait été président des Etats-Unis), l’ancienne candidate démocrate à l’élection présidentielle de 2016 Hillary Clinton (il ne peut supporter qu’une femme puisse être présidente) et l’ancien maire de New York Michael Bloomberg (il ne peut supporter qu’un milliardaire newyorkais soit plus riche que lui).

    Mais, au-delà de cette haine pathétique, raciste, misogyne et narcissique, les trois personnalités que l’on vient de citer sont des centristes progressistes et les autres «amis» d’Emmanuel Macron, en tout cas, ses alter-ego politiques.

    Lire la suite