Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

centre - Page 16

  • Présidentielle USA 2016. Devant la montée de Trump et Sanders, Bloomberg prêt à y aller

    Selon le New York Times, Michael Bloomberg, l’ancien maire de New York et propriétaire de l’empire des médias financiers qui porte son nom, aurait demandé à ses collaborateurs et à ses soutiens de se tenir prêt en vue d’une éventuelle candidature à la Maison blanche.

    Le milliardaire âgé de 73 ans a toujours caressé l’idée de se présenter à la présidentielle.

    Catalogué comme un «independent» centriste, il a été tour à tour membre du Parti démocrate et du Parti républicain, toujours membre de l’aile centriste des deux grands partis.

    Après trois mandats à la tête de la mairie de New York, il avait décidé de reprendre les rênes de son entreprise et, dans le même temps, de soutenir un certain nombre d’hommes et de femmes politiques modérés et/ou qui luttaient pour un contrôle des armes à feu ou pour des mesures sanitaires en matière d’alimentation ou encore pour la protection de l’environnement mais sans descendre lui-même dans l’arène publique.

     

    Lire la suite

  • Présidentielle 2017. Bayrou critique les partis et sacralise la fonction présidentielle

    On connu des centristes qui faisaient l’éloge du Parlement et qui étaient très critiques sur la fonction de président de la république sous le V° République.

    Ce n’est pas (plus) le cas de François Bayrou qui continue à peaufiner son image de présidentiable au cas où une fenêtre s’ouvrirait dans les mois qui viennent.

    Ainsi, au micro de France info, à propos des partis politiques, il «considère que parmi les maux du pays aujourd’hui il y a le fonctionnement des partis politiques – qui ne sont plus du tout des organisations qui pensent à l’avenir et qui favorisent le travail en commun – ils sont exactement le contraire, c’est-à-dire un champ clos à l’intérieur duquel on s’affronte. C’est une organisation de division. Cette partitocratie, comme on dit, qui fait que les partis sont ou bien là pour organiser des prébendes ou bien qu’ils organisent la guerre de tous contre tous à l’intérieur. Ceci ne me correspond pas. Alors, j’ai une réflexion, peut être que j’en ferai part aux adhérents du MoDem assez vite. Je pense qu’il faut changer le fonctionnement des partis politiques.»

     

    Lire la suite

  • Présidentielle 2017. Lagarde veut un pacte de gouvernance avec LR… qui n’engagera personne!

    Au micro de RTL, sur le site de l’Opinion et dans le Figaro, le président de l’UDI Jean-Christophe Lagarde décline ses conditions à la participation de son parti à la primaire de LR, tout en rappelant que les décisions d’y participer ou non, d’avoir un candidat indépendant ou non, seront prises le 20 mars prochain au cours d’un congrès.

    Mais l’on sent bien que l’argumentaire de la participation à la primaire est nettement plus travaillé et crédible que celui de la candidature indépendante.

    Quoi qu’il en soit, une de ces conditions est l’adoption de «priorités partagées» et d’un «pacte de gouvernance» entre les centristes et les droitistes (qui se transformera en «programme de gouvernement» après la primaire).

     

    Lire la suite

  • Présidentielle 2017. UDI: Lagarde écrit à Sarkozy pour organiser la primaire de la Droite et du Centre

    Ceux qui en doutaient encore devront s’y faire, l’UDI devrait participer à la primaire de LR.

    Car, selon son président Jean-Christophe Lagarde au micro de RTL, il ne faut pas «s'obséder exclusivement sur le premier tour de la présidentielle» car la priorité est que «François Hollande ne soit plus président de la République».

    Un enterrement de première de la candidature indépendante…

     

    Lire la suite

  • L’UDI en 2016: ça passe ou ça casse

    2016 sera une année cruciale pour l’UDI.

    Toutes les options sont sur la table.

    Personne, ainsi, ne sait, à l’heure actuelle, si la confédération centriste qui soufflera bientôt ses quatre bougies, fera encore partie du paysage politique à la fin de cette année et dans quel état ou organisation, ni si elle aura implosé sous les attaques des les forces centrifuges qui la tiraillent depuis sa création et qu’ils l’ont fragilisée de plus en plus depuis le départ de son créateur, Jean-Louis Borloo, en 2014, lui qui avait jeté l’éponge après une grave maladie mais aussi par l’impossibilité de gérer efficacement la formation qu’il avait créé en 2012.

    Car, comme le dit son président, Jean-Christophe Lagarde, «Le travail ne manquera pas» mais peut-être pas dans le sens qu’il le pense.

    Lire la suite

  • Présidentielle USA 2016. La droite républicaine au secours du socialiste Sanders contre la centriste Clinton!

    Comment battre le candidat démocrate en novembre prochain? En faisant battre Hillary Clinton lors de la primaire et en faisant nommer Bernie Sanders.

    Devant la peur de voir Donald Trump ou Ted Cruz être leur candidat, voilà la solution qu’ont trouvée les républicains pour conquérir la Maison Blanche!

    Car si certains sondages montrent que Bernie Sanders battrait plus facilement Donald Trump ou Ted Cruz, il est fort probable que le sénateur du Vermont ne sera pas le vainqueur de la primaire démocrate, tant il est incapable pour l’instant de rallier à lui les afro-américains et les latinos qui sont essentiels pour gagner cette compétition.

    Sauf si, bien sûr, Hillary Clinton est totalement discréditée pour être la candidate démocrate le 8 novembre.

    Lire la suite

  • Présidentielle 2017. Une majorité écrasante de centristes ne veulent plus de Sarkozy

    Un sondage BVA pour iTélé et Orange indique que 80% des Français ne veulent pas d’une candidature de Nicolas Sarkozy à la présidentielle de 2017.

    Cette opinion est majoritaire dans tous les électorats, 55% des sympathisants de LR (contre 45%) ne souhaitent pas que l’ancien président de la république se présente.

    Chez les centristes, les pourcentages sont nettement plus élevés puisque 93% des sympathisants du Mouvement démocrate (contre 6%) et 83% des sympathisants de l’UDI (contre 17%) rejettent la candidature de Nicolas Sarkozy.

    Rappelons qu’un récent sondage réalisé par l’IFOP pour le Figaro montrait que les sympathisants du Centre qui se disaient prêts à voter à la primaire de LR, n’étaient que 7% à choisir Nicolas Sarkozy.

     

    Lire la suite

  • Présidentielle 2017. Le ralliement de l’UDI à la primaire de LR se précise

    Les dernières déclarations des deux frères ennemis de l’UDI, celles de Jean-Christophe Lagarde à la chaîne LCP et celles d’Hervé Morin au Figaro, semblent préparer les militants de la formation centriste à l’abandon d’une candidature indépendante et à un ralliement à la primaire de LR et, donc, au soutien dès le premier tour la présidentielle du candidat LR quel qu’il soit.

    Evidemment, ce ralliement que souhaite depuis toujours Hervé Morin autant par tactique interne (s’opposer à Lagarde) que par ambition nationale (un ministère en 2017?) semble être désormais la position «cachée» de Jean-Christophe Lagarde.

     

    Lire la suite

  • Les centristes doivent résister à l’hystérie ambiante

    Le Centrisme n’est pas un juste milieu et un rassemblement de modérés mais un juste équilibre qui unit des humanistes.

    Ayant dit cela, être du Centre, c’est également prôné une modération et une union large ainsi que la recherche par le compromis de consensus en refusant ce qui caractérise la Droite et la Gauche, le clientéliste flagorneur et trompeur, c’est-à-dire des politiques tournées avant tout vers des groupes spécifiques sociaux et économiques et non pour le bien de tous, surtout qui ne peuvent apporter les solutions dont le pays a besoin.

    De ce point de vue, les centristes doivent avoir le comportement le plus ouvert possible mais également le plus responsable et le plus courageux possibles.

    Lire la suite

  • Présidentielle USA 2016. Le troisième homme, clé de la présidentielle américaine?

    Les médias américains sont en émoi.

    Ils ne comprennent pas bien le phénomène Donald Trump qui continue à rallier un nombre important de sympathisants républicains, d’«independents» d’extrême-droite et de personnes ayant refusé de voter aux élections sous le prétexte du fameux «tous pourris».

    De même, ils sont interrogatifs sur la capacité du socialiste Bernie Sanders à résister face à Hillary Clinton même s’il est loin derrière la centriste en intentions de vote des sympathisants démocrates pour la primaire.

    Car Donald Trump et Bernie Sanders sont les enfants d’un même mouvement populiste et démagogique qui vient d’un rejet de la classe politique de Washington sur lequel les politiciens jonglent dangereusement depuis des décennies (Barack Obama s’était fait élire en 2008 en se présentant comme un «outsider» du jeu politique, c’est-à-dire quelqu’un qui ne fait pas partie du sérail et donc, pas corrompu ni faisant ses petites affaires secrètes avec ses congénères washingtoniens).

     

    Lire la suite