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politique

  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Le «progressisme» nouveau nom du Centrisme?

    Or donc, deux des anciens collaborateurs d’Emmanuel Macron qui viennent de quitter l’Elysée, ont écrit un livre – auquel souscrit à «99%» leur ancien patron – dans lequel ils nous «apprennent» que le macronisme est un progressisme, ce que Macron ne cesse de répéter depuis… 2017 et qu’il a même écrit un livre pour le définir!

    Plus sérieusement, ils veulent théoriser ce qu’est le macronisme et, pour que leur ouvrage devienne un classique et soit traduit dans le monde entier, dixit les auteurs, David Amiel et Ismaël Emelien (on sourit à leur «modestie»), ils ne veulent pas le nommer que «progressisme», tout en expliquant que leur progressisme est bien évidemment porté à 100% par Emmanuel Macron.

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  • L’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Etats-Unis, le répit démocratique

    Le Parti démocrate vient donc de gagner la Chambre des représentants, ce qui n’a pas empêché Donald Trump de tweeter qu’il s’agissait d’une «immense victoire» pour sa personne et le Parti républicain!

    On n’est, bien entendu, guère étonné par cette réaction d’un personnage qui a érigé le mensonge en mode de gouvernement.

    Mais on est abasourdi que les médias français reprennent cette idée que Trump a quelque part gagné parce qu’il n’y a pas eu de «raz-de-marée démocrate (que personne ne prévoyait), que le Sénat demeurerait républicain (ce qui était prévu par les instituts de sondage) et que les gains chez les gouverneurs des Etats ne sont pas aussi grands qu’espérés par les démocrates.

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  • Un idiot à la Maison blanche ou quand la démocratie a réellement commencé à sombrer

    «Idiot», «crétin», «incapable», «dangereux», ce ne sont pas des adjectifs à nous, ni ceux d’opposants à Donald Trump mais ils sortent directement de la bouche de ceux qui travaillent avec lui à la Maison blanche.

    Il faut bien comprendre ce que cela veut dire quand vos conseillers affirment vous empêcher de faire des bêtises (comme provoquer une guerre), qu’ils vous cachent des choses, qu’ils refusent de transmettre vos ordres les plus inconséquents et qu’ils déclarent un peu partout que vous devriez être destitué.

    Dans le fauteuil du bureau ovale, se trouve assis l’homme le plus puissant des Etats Unis, la première puissance mondiale, la plus vieille démocratie du monde, et cet homme est un «moron», un «abruti» (toujours selon ses conseillers).

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  • Présidentielle 2017. Lagarde ne veut pas que l’UDI participe à la primaire de LR mais le peut-il?!

     

    Le clash entre l’UDI et LR a-t-il réellement éclaté?

    En tout cas, le président de l’UDI, Jean-Christophe Lagarde, vient de déclarer dans une interview à Paris Match que sa formation ne participera pas à la primaire de LR.

    Il faut dire qu’il a été humilié par le parti de droite et son président, Nicolas Sarkozy.

    Alors qu’il avait toujours affirmé qu’il voulait que l’UDI ait un candidat indépendant à la présidentielle, il avait procédé à un rétropédalage progressif ces dernières semaines, tout d’abord en refusant de dire s’il était ou non contre cette candidature indépendante puis en faisant de multiples appels du pied à LR pour ouvrir des négociations afin d’échanger participation à la primaire contre circonscriptions pour les législatives et postes dans un futur gouvernement.

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  • Présidentielle 2017. Laurent Hénart, président du Parti radical, dernier défenseur d’une UDI réellement indépendante

    Il l’a toujours dit, il veut un candidat UDI à la présidentielle.

    Et si Laurent Hénart, président du Parti radical, principale composante de la confédération centriste avec le Nouveau centre, sait que cela sera difficile d’imposer ce choix, il ne veut pas, en tout cas, d’une participation à la primaire de LR.

    En tout cas, il veut d’abord que l’UDI se prépare pour la présidentielle en bâtissant un projet puis en explorant toutes les possibilités avant de se décider ou non à rejoindre LR dès le premier tour.

    Se rangeant derrière Jean-Louis Borloo qui avait justement quitté l’UMP, ex-LR, afin de pouvoir réunir le centre et le centre-droit pour leur permettre d’exister de manière indépendante, donc de présenter un candidat à la présidentielle, il ne veut pas que l’UDI devienne un simple appendice de la Droite comme le fut le Nouveau centre de 2007 à 2012 ou même le Parti radical lui-même composante de l’UMP pendant cette période.

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  • Présidentielle USA 2016. Trump n’est que la résultante des outrances et dérives des républicains

    Lorsque Marco Rubio affirme qu’avec Trump le parti républicain n’est plus celui de Lincoln et de Reagan, il a tort.

    Cela fait longtemps que les républicains n’ont plus rien à voir avec Abraham Lincoln, une des deux grandes figures centristes du parti avec Theodore Roosevelt.

    C’est tellement vrai que Barack Obama a pu s’approprier les deux hommes et se revendiquer de leur filiation sans que les républicains n’esquissent la moindre protestation ou controverse à ce propos.

    Ils auraient alors certainement été accusés d’être de gauche par une grande partie de leur électorat!

     

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  • La mystification dangereuse des «partis politiques de la société civile»

    Vive la société civile, paré de toutes les vertus.

    A bas le monde politique accablé de tous les vices.

    On connait cette vieille rengaine et la floraison d’associations plus ou moins bidons, nées souvent de l’ambition quelque peu mégalomaniaque de chefs d’entreprise qui ont réussi dans leur domaine ou d’intellectuels médiatiques en mal de destin national, qui tous prétendent vouloir que le civil se réveille et s’empare du politique à la place du… politique devenant ainsi du… politique, parce qu’il ne peut en être autrement.

    Ce qui fait de la politique – organisation ou individu – est obligatoirement du politique, même «différemment»!

     

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  • Présidentielle 2017. Axe central: Les Français veulent un duel Macron-Juppé

    Selon un sondage Odoxa pour Le Parisien, le duel gauche-droite préféré des Français pour la présidentielle de 2017 opposerait Emmanuel Macron à Alain Juppé, deux représentants de cet axe central qui va des sociaux-libéraux de gauche aux gaullo-réformistes de droite en passant par les libéraux sociaux du Centre.

    24% des Français souhaitent qu’Emmanuel Macron soit le candidat de la Gauche alors que 45% souhaitent que la candidat de la Droite soit Alain Juppé.

    Macron précède Valls (23%) d’’un point, autre représentant de l’axe central.

    Viennent ensuite, loin derrière, Hollande, Aubry et Mélenchon avec 9%.

    Juppé, lui, vient en tête loin devant Sarkozy (16%) et Fillon (10%).

     

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  • Morin a-t-il encore sa place à l’UDI?

    A force de jouer contre Jean-Christophe Lagarde, de distiller sans cesse des petites phrases, des fausses confidences et des jugements péremptoires, Hervé Morin n’en finit pas de lézarder l’édifice UDI qu’il n’a jamais aimé et qui le lui a bien rendu.

    Aujourd’hui, il se sent assez fort et, en même temps, marginalisé à l’intérieur de l’UDI pour ruer constamment dans les brancards sans se soucier le moins du monde d’une discipline de parti ou, tout simplement, d’un soutien même ad minima à la direction de la confédération centriste.

    Sa défaite à la direction de cette dernière a été évidemment un coup rude mais un résultat normal tant une majorité de militants ne voulaient pas de lui, notamment parce qu’il n’était pas le mieux placé pour animer une formation indépendante de la Droite.

    La suite leur a donné raison puisqu’Hervé Morin ne cesse de demander le ralliement de l’UDI à LR (et, auparavant, à l’UMP) pour toutes les élections et pour toutes les prises de position.

    Son problème est qu’il en fait un peu trop.

     

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  • Présidentielle 2017. Une majorité écrasante de centristes ne veulent plus de Sarkozy

    Un sondage BVA pour iTélé et Orange indique que 80% des Français ne veulent pas d’une candidature de Nicolas Sarkozy à la présidentielle de 2017.

    Cette opinion est majoritaire dans tous les électorats, 55% des sympathisants de LR (contre 45%) ne souhaitent pas que l’ancien président de la république se présente.

    Chez les centristes, les pourcentages sont nettement plus élevés puisque 93% des sympathisants du Mouvement démocrate (contre 6%) et 83% des sympathisants de l’UDI (contre 17%) rejettent la candidature de Nicolas Sarkozy.

    Rappelons qu’un récent sondage réalisé par l’IFOP pour le Figaro montrait que les sympathisants du Centre qui se disaient prêts à voter à la primaire de LR, n’étaient que 7% à choisir Nicolas Sarkozy.

     

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